La sécurité rue de La Jonquière et rue Berzélius - Quartier des Epinettes - Paris 17e (04/09/2013)
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Ou en sommes nous
en septembre 2013
rue de La Jonquière
et rue Berzélius
Article paru et lu voici de nombreux mois
En charge des dossiers suivis par le regretté Jean-François Divry, Geoffroy Boulard,
adjoint au maire chargé de la Sécurité, de la Prévention, à la Politique de la ville,
n’élude pas laquestion de la délinquance aux Epinettes et du sentiment d’insécurité
qu’il peut générer : « De part et d’autre du pont de la Jonquière, autour de la piscine,
il existe des bandes qui empoisonnent la vie des riverains. » La lutte contre les
bandes est l’une des priorités du contrat local de sécurité et de la mandature. «
rueCurnonski,
à la limite de Levallois, c’est relativement plus grave, dans ce quartier de tours
enclavé, car le trafic de drogue est difficile à éradiquer, précise-t-il. Mais les
statistiques n’enregistrent pas d’augmentation d’actes de délinquance. » Le
commissaire divisionnaire Duminy, qui commande les effectifs de police du 17è
arrondissement, est confronté à une double problématique : le sentiment d’insécurité
ressenti par les habitants et l’insécurité réelle enregistrée statistiquement. « Aux
Epinettes, reconnaît-il, avec la proximité du 93, du 18è arrondissement
et l’importance de la population défavorisée, nous sommes dans un quartier
privilégié des services de police. C’est un pôle attractif pour le trafic et la
consommation de stupéfiants, avec des points de fixation de jeunes en déshérence
comme la Villa Sain- Ange et le Mail Bréchet. Mais si on se livre à une analyse
statistique, il y a moins de faits constatés aux Epinettes que du côté de la Porte
Maillot. » Rue Berzélius et près de la piscine de la Jonquière, le sentiment d’insécurité
est provoqué par des outrages aux policiers ou des refus d’obtempérer. « En terme
de délinquance, il n’y en a pas plus qu’ailleurs, assure le commissaire Duminy.
L’action pénale ou nos interventions quotidiennes pour décourager les
comportements déviants, l’occupation des halls d’immeubles a ses limites. Il faut
reprendre ce que Jean-François Divry
– dont j’appréciais la qualité d’écoute et l’énergie – a mis en place pour
responsabiliser les jeunes qui entrent dans le schéma de délinquance. »
La mandature se termine
et rues de La Jonquière - Berzélius
l'insécurité est toujours réelle
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L'insécurité réelle enregistrée par les
statistiques, un article récent dans la presse nationale n'a pas été tendre
pour 17ème arrondissement deParis
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06:48 Écrit par JCJ | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |