A connaitre le Bar OCTOPUSSY (06/10/2015)

OCTOPUSSY

22 Rue de La Jonquière, 75017 Paris

Le BAR branché

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Qui participe à la redynamisation

de la rue La Jonquière

Quartier des Epinettes 

Paris XVII

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Derrière son nom qui évoque plus un film de série Z ricain circa 1970 qu’un épisode de la saga 007 (comme quoi, Roger Moore nous étonnera toujours), l’Octopussy dégaine un concept simple et efficace : amener un peu de l’esprit rock de Ménilmontant ou d’Oberkampf dans un quartier qui en avait bien besoin. Rappel des faits : près du métro Guy Môquet, passé une certaine heure, vous ne trouverez pas beaucoup d’adresses accueillantes où boire un énième et dernier verre. Ou même simplement un lieu original pour prendre l’apéro. La place de Clichy et la mairie du 18e fourmillent de bars recommandables, et ont encore tendance à capter une bonne partie de la clientèle du coin.

 

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Bref, il manquait dans ce quartier un zinc comme celui-ci, avec une belle carte de bières (Bellerose, Brooklyn Lager, Punk IPA, environ 4 € le demi) comme de whiskies (tous les classiques sont là, du Lagavulin au Ardbeg en passant par le Jura ou le Caol Ila, à 10 € minimum les 4 cl tout de même), qui prend donc bien soin des palais de ses hôtes – même si la carte des cocktails se montre plus anecdotique, et les prix relativement élevés. Côté déco, les patrons ont fait dans le sobrement design et art rock, avec des meubles chinés et des posters de groupes un peu partout sur les murs, jusque sur ceux des toilettes. Et bien sûr, quelques pieuvres lumineuses disséminées çà et là, dans la vaste et confortable salle du haut.

 

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Depuis son ouverture en août 2014, l’Octopussy a visiblement su s’implanter dans ce quartier à la frontière entre 17 et 18e, attirant désormais des habitués venus autant pour les alcools proposés et l’ambiance, que les soirées spéciales organisées régulièrement. Entre les vide-dressing, blind tests, les expos photo au sous-sol, apéros huîtres et vin blanc, le programme a en effet tout pour nous tent(acul)er.

12:20 Écrit par JCJ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nicolas hecht |  Facebook | |  Imprimer | |