PHOBIE SCOLAIRE--- QUI en PARLE ??? (10/02/2021)

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COVID-19: des jeunes en détresse et des parents à bout de ressources

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En tant que tiers de confiance depuis le 23 juin 2015 suite à une décision de justice d'une juge des enfants du TGI de Paris, avec mon épouse nous découvrons en raison de la COVID-19 et du confinement de mars 2020 la phobie scolaire de notre petite fille.

Je constate: 

- Grand silence des chaines d'information en continu, des élus à l'exception pour nous de Grégory Labille Député de la Somme et de Aline Bessis Maire adjointe en charge du handicap et de la petite enfance à Paris  17ème.

- L'excellent soutien de la Directrice du collège privé sous contrat: Notre Dame à Ham 80400, des Sapeurs Pompiers de Ham, des Gendarmes de Préronne et Ham, des soignants de l'Hôpital de Saint Quentin, du pédopsychiatre CMT Péronne et des assistantes sociales en charge du dossier de Léa.

- Concernant l'ASE 6/14 Paris et une association bien connue, je préfère me taire.

- Actuellement de nombreux jeunes ont des symptômes reliés à de l'anxiété sévère ou à une dépression majeure, et un bon nombre de parents ne savent plus où cogner pour avoir de l'aide.

- Nous avons des moments de colère ou de tristesse, nous sommes démotivés, et là avec le bulletin, on constate une chute dans les notes scolaires.

On est loin d'être les seuls.

- Une récente étude réalisée par un ami, près d'un jeune de 12 à 22 ans sur deux (48%) rapporte actuellement des symptômes compatibles avec un trouble d'anxiété généralisée ou une dépression majeure.

- Trois fois plus de jeunes du secondaire rapportent une santé mentale passable ou mauvaise, comparativement à ce qui a été observé en janvier 2021 (30% contre 11%).

Hausses des demandes de service.

- Les experts sont unanimes, il y a un rehaussement des demandes de services, et ça pourrait prendre jusqu'à cinq ans avant que la situation ne soit rétablie.

- "Dans le secteur privé, c'est du jamais vu, je dois refuser environ une dizaine de clients par semaine, m'a signalé une amie psychologue à Paris".

- Les parents se sentent à bout de ressources et limités dans les outils qu'ils peuvent donner à leurs enfants.

Revoir la stratégie.

- Des psychologues considèrent qu'il faut revoir les stratégies pour améliorer l'offre de services envers les jeunes, mais aussi pour les adultes.

- "La seule façon d'avoir une intervention de masse et d'avoir une intervention qui est très efficace, c'est de mettre des cours d'éducation en santé mentale dans les écoles. En fait, ce n'est pas normal qu'on n'aborde pas la santé mentale dans les écoles" dixit un ami médecin.

Le comble pour nous.

Suppression pour Léa de l'aide pour une handicapée de 130,12 € par mois, merci à MDPH Amiens

Suppression pour nous de l'allocation d'entretien de 481,70€ par mois, merci aux Conseillers de Paris.

JCJ

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09:49 Écrit par JCJ | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer | |