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25/02/2009

ENTRAVE A LA LIBERTE DU COMMERCE

Camion ZL 003.jpg

Les commerçants et artisans de proximité sont vraiment en première ligne pour le pire.

Sous la précédente mandature, à l'occasion des Conseils Consultatifs de Quartier, nous pouvions entendre des habitants dénonçant la présence des zones de livraison, enlèvement et transport de fonds trop nombreuses.

Le 24 février 2009, de retour d'Anvers, mon portable sonne à deux reprises, deux adhérents de l'ACAJA et de la CAPAC, remontés comme une pendule, hurlent de désespoir, tout en dénonçant :

"l'ouverture des zones de livraison au stationnement dès le 2 mars 2009"

La position du groupement ACAJA-CAPAC est la suivante.

Modifier le code de la route, classifier le procès verbal pour stationnement illicite sur une zone de livraison en 4ème catégorie.

Réglementer l'activité des voituriers tout en leur accordant des concessions pour permettre aux clients, de certains commerces, de stationner : restaurants, fleuristes, etc ... etc ....

Nous pouvons remarquer dans l'arrondissement, et au-delà, la présence de nombreux voituriers.

Qui peut croire qu'à partir de 7 heures du matin, le stationnement illicite sur les zones de livraison, va disparaître... l'interdiction de stationner étant de 20 heures à 7 heures. Les commerçants revenant de RUNGIS, entre 4 heures et 7 heures où vont-tils stationner ? en pleine voie avec des automobilistes qui klaxonneront !

Que faut-il faire ? PETITION, INTERVENTION AUPRES DU MINISTRE DES TRANSPORTS ET DU SECRETAIRE D'ETAT AU COMMERCE, MANIFESTATION DES COMMERCANTS ET ARTISANS.

Nota : Une entreprise téléphonique de la rue Fragonard réclame une zone de livraison depuis 4 ans, le résultat, la zone de livraison existante angle rue Fragonard, avenue de Clichy a été supprimée, BRAVO !

Les photos ont été prises à partir de 9 heures 10 le 25 février 2009.

Jean-Claude JANAN Président du groupement ACAJA-CAPAC : diffusion à 1257 exemplaires

CLIC pour voir toutes les photos de stationnement illicite sur les zones de livraison après 9 heures ......................

08/02/2009

Jean-Marc GEORGES-Commerçant Ambulant a cessé la grève de la faim vendredi 6 février 2009 à 18 heures-rue de Levis Paris 17e

Gève de la faim (5).JPGDe gauche à droite : Larry, commerçant méditerranéen, J.C. JANAN Capac-Acaja, GEORGES, commerçant

 

Jean Marc GEORGES, commerçant ambulant excerçant face au 54 rue de Levis Paris 17e a cessé la grève de la faim le vendredi 6 février 2009 à 18 heures, après 9 jours de grève.

Le commerce dans la Ville

Les commerçants, artisans et professionnels sont les poumons de la Ville

L'intelligence commerciale, concerne la communauté des commerçants et des clients

Quand la transparence d'une décision n'apparaît pas, il faut s'attendre à des réactions

Les commerçants, artisans, professionnels sont des repreneurs ou des créateurs d'entreprises, ils sont aussi des créateurs d'emplois et de richesses

Les commerçants sédentaires et non sédentaires sont en première ligne pour le meilleur et pour le pire

Le pire : concurrence déloyale, entraves à la liberté du commerce, le paracommercialisme, autrement dit la vente à la sauvette ou vente sous le manteau, l'insécurité et des décisions contestables pouvant nuire à la bonne exploitation de leur commerce.

Les commerçants ambulants rencontrent de très nombreuses difficultés, mais ils se doivent de respecter les lois, les décrets, les arrêtés préfectoraux et municipaux qui les concernent.

Les circulaires ministérielles doivent être appliquées avec rigueur et discernement par ceux qui ont mission de les faire respecter.

QUI CROIRE DANS L'AFFAIRE JEAN-MARC GEORGES ?

Les éléments constitutifs réels et sérieux sont connus, ils ne sont pas classés au fond des archives de l'ACAJA-CAPAC.

Conformément à la loi, la police nationale a verbalisé le 17 janvier 2009 Jean-Marc GEORGES, rien à dire sur la verbalisation.

Jean-Marc GEORGESse retrouve sur le pavé de la rue de Levis, sans pouvoir exercer son travail. Le 29 janvier 2009, il décide de faire la grève de la faim, à la grande surprise des commerçants,  riverains et chalands, qui le connaissent depuis 13 ans.

Les élus sont surpris, certains sont sans réaction, le téléphone portable se déchaîne, les membres des bureaux ACAJA-CAPAC sont prévenus.

Première réaction de l'ACAJA-CAPAC "Le pavé lancé dans la mare va faire des vagues dans l'ouest de l'arrondissement"

La presse débarque, le ton change, on oubli la formulation "vendeur à la sauvette" pour en arriver à celle de "marchand ambulant" excerçant sans autorisation du service compétent de la Mairie de Paris.

L'absence de résultat pour résoudre le délicat problème de Jean-Marc GEORGES, a déclanché la mobilisation du groupement associatif ACAJA-CAPAC pour soutenir un commerçant de proximité en difficulté.

L'objectif du groupement ACAJA-CAPAC consiste à sortir de cette délicate situation par le dialogue et la concertation avec les élus.

Le 5 février 2009, Jean-Claude JANAN constate que la santé et le moral de Jean-Marc GEORGES se dégradent, des commerçants et des riverains expriment  un sévère mécontentement à l'encontre de certains élus. 

Le groupement ACAJA-CAPAC décide de déposer son dossier à la permanence de Madame Françoise de PANAFIEU rue Pierre Demours, ce qui est fait à 11 heures 45. Dès 15 heures 40, la Députée de la 16e circonscription informe Jean-Claude JANAN qu'elle est intervenue auprès du Préfet de Police, et qu'elle se rendra à  16 heures rue de Levis pour régler la situation.

Le directeur de cabinet de Madame Lyne COHEN SOLAL, informe Jean-Claude JANAN sur les conditions devant permettre de solutionner le problème, après entretien avec Jean-Marc GEORGES, celui-ci confirme  qu'il cesse la grève de la faim, et qu'il tient à remercier Madame Françoise de PANAFIEU pour être intervenue rapidement et efficacement dans ce délicat dossier.

L'ex gréviste de la faim s'est engagé auprès de Jean-Claude JANAN à respecter les conditions définies par le Directeur de Cabinet de Madame Lyne COHEN SOLAL.

 

 

05/02/2009

GREVE DE LA FAIM RUE LEVIS PARIS 17e

Gève de la faim (5).JPG Le groupement associatif ACAJA-CAPAC milite et occupe le terrain  pour défendre le commerce de proximité.

Jean-Claude JANAN, Président du groupement ACAJA-CAPAC, tient à soutenir Jean-Marc GEORGES commerçant ambulant exerçant son activité face au 54 rue Levis Paris 17e, depuis 13 ans, lequel fait une grève de la faim depuis le 29 janvier 2009 , au motif qu'il lui a été notifié de quitter les lieux.

La vérité est difficile à connaître, qui est à l'origine de cette situation ?

Il est bien évident que Monsieur Jean-Marc GEORGES connaît le point de départ de cette pénible situation dans laquelle il se trouve. En période de difficultés économiques, il est difficile d'admettre certaines actions à l'encontre des commerçants de proximité.

Le 4 février 2009 à 20 heures, un commerçant méditerranéen REST'ORAN, bien connu dans le quartier de la rue Levis, sur la photo à gauche, Jean-Claude JANAN au centre, ont rendu visite à Jean-Marc GEORGES à droite.

Pour la bonne information, de Jean-Marc GEORGES, Jean-Claude JANAN lui a remis la CIRCULAIRE N° 77-705 - REGIME JURIDIQUE DE L'EXERCICE DU COMMERCE AMBULANT, émise par le Ministère de l'Intérieur.

Lors de la visite de soutien, une Conseillère de Paris élue du 17e arrondissement est venue, elle aussi, soutenir Jean-Marc GEORGES.

Il est urgent que cette situation cesse, nous avons dans notre tiroir d'autres éléments concernant des entraves faites aux commerçants de proximité des quartiers Epinettes-Batignolles.

Jean-Claude JANAN   l'ACAJA VEILLE AUX GRAINS