Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

23/02/2015

Aimons la rue Berzélius ... Paris 17e

 2f3d5ba0e96a28ac32c625e2b450c690.jpg

Aimons la rue Berzélius

Quartier des Epinettes

Paris 17e

rue Berélius cbk.jpg

cartes-postales-photos-Rue-Berzelius-PARIS-75017-75-75117016-maxi.jpg

 La rue Berzélius au début du XX ème siècle

data=LtgX-e3f8ctI3U5dJtbt7EJ1ZfRneYme,z-6fliHwrJm7nAhEDH20wseD7DBo3OZ_KQb1cJ4cUV1w7wIyrhaW9peHBHd2smjM1c0vQ5yEf4LgaHX5Fsytoqh2T3ONl8pjExhPhlsg.gif

 Les habitants, les commerçants, les artisans

et les professions libérales de la rue Berzélius doivent pouvoir vivre et travailler sans subir des nuisances.

...

La rue Berzélius retrouvera son attractivité commerciale et

artisanale, il n'est plus possible de subir depuis des

années les nuisances qui dévalorisent une rue

du quartier des Epinettes.

...

En soirée du lundi 16 février 2015

une fusillade rue Berzèlius

ça suffit

...

La sécurité des biens et des personnes !

http://acaja.hautetfort.com/securite-des-biens-et-des-per...

On ne lâchera pas §.png

 Archives

 

 

 

  Le tueur de l'avenue de Clichy arrêté

 

  

 Stéphane Albouy | 25.11.2003

 

LA CAVALE de Mohammed Ghrib s'est achevée hier soir. Le meurtrier présumé de Chantal Piekolek, une commerçante de l'avenue de Clichy lardée de 27 coups de couteau mercredi, a été arrêté avenue de Flandre, dans le XIX e arrondissement. Plusieurs policiers de la brigade criminelle, épaulés par leurs collègues de l'antigang, avaient pris position dans le quartier, et c'est vers 19 h 30 qu'ils ont pu interpeller cet homme de 37 ans devenu l'objet d'une chasse à l'homme engagée depuis quatre jours. D'après les enquêteurs, le suspect se savait activement recherché et tentait d'organiser sa fuite à l'étranger. Il était hier soir en garde à vue à la brigade criminelle de la PJ parisienne. La décision de diffuser la photographie et le nom de ce suspect avait été prise vendredi dernier en accord avec le parquet de Paris. Décrit comme « extrêmement dangereux et armé », Mohammed Ghrib a été formellement identifié grâce à ses empreintes retrouvées sur le tiroir-caisse de la commerçante de l'avenue de Clichy. La sauvagerie avec laquelle la victime a été tuée a été un des éléments déterminants qui a conduit à lancer cet appel à témoins exceptionnel dans le cadre d'une affaire criminelle en cours. « C'est un homme aux abois qui présente un réel risque de récidive », expliquaient alors les enquêteurs de la crim. Connu pour de nombreuses affaires de vols avec violence et pour braquage, Ghrib était également recherché pour une autre affaire. Il avait en effet été identifié comme étant l'auteur d'une tentative d'homicide survenue le 4 novembre dernier, à Saint-Maur, dans le Val-de-Marne. Ce jour-là, c'est une automobiliste qui avait fait les frais de sa violence. Alors que cette femme de 51 ans était en train de vérifier les niveaux de sa , le suspect lui avait demandé de le prendre à bord pour le conduire jusqu'au pont de Bonneuil. Très rapidement, il s'était montré menaçant, et avait finalement sorti un couteau avec lequel il avait tenté de poignarder l'automobiliste avant de prendre la fuite. Ses empreintes avaient été relevées dans le véhicule. Téléphones surveillés Depuis la diffusion du portrait de Mohammed Ghrib, la brigade criminelle avait reçu plusieurs dizaines d'appels de personnes persuadées d'avoir croisé son chemin. Mais ce sont finalement des techniques d'enquête beaucoup plus classiques qui semblent avoir permis son arrestation. En effet, depuis son identification formelle, les lignes téléphoniques de nombreuses personnes de son entourage avaient été surveillées. Une observation discrète qui a permis de localiser des appels passés par le fugitif depuis le secteur de l'avenue de Flandre où il a finalement été retrouvé hier soir. La mort de Chantal Piekolek, une vendeuse de chaussures appréciée pour « sa courtoisie, sa douceur et sa discrétion », avait provoqué un très vif émoi dans son quartier de l'avenue de Clichy. La fille de cette commerçante et une de ses jeunes copines, toutes deux âgées de 11 ans, étaient présentes au moment du crime. Les deux enfants jouaient alors dans la réserve du magasin et ont entendu l'agression. Terrorisées, elles ne sont sorties du local qu'à l'arrivée d'une amie de la victime, près de trois quarts d'heure après les faits. Dimanche dernier, près de 500 personnes s'étaient réunies devant le magasin pour rendre un dernier hommage à leur amie disparue.
 

Le Parisien

Cet article a été publié dans la rubrique Faits divers