08/12/2012
Incivilités des commerçants ---avenue de Clichy !!!
Flash Info
Après de nombreux appels téléphoniques de commerçants de l'avenue de Clichy, je reçois ce jour un courriel de Geoffroy Boulard Adjoint au Maire.
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Opération Lutte contre les incivilités avenue de Clichy
(phase 1)
Bonsoir à tous,
Vous trouverez ci-après le bilan positif de l’opération menée par les équipes de la DPP, avenue de Clichy, le mercredi 05 décembre de 08h00 à 17h00, suite à une visite de Brigitte KUSTER sur le secteur avec les
services.
Les commerçants ont tous été avertis pour la mal propreté des façades, tentures et divers rideaux de fer (des photos ont été prises) et ont un délai de 15 jours pour entamer les démarches de recherche ou des
travaux de nettoyage. Il est à noter que certains commerçants ne programment plus dans leur budget le nettoyage et l'entretien de leur façade. L'ensemble des 12 signalements a été contrôlé, deux contraventions ont été dressées au 118 et 177 de l'avenue de Clichy.
Les autres étaient en conformité concernant leur terrasse ou leur étalage, concernant la propreté de leur façade certains ont été avertis.
Les points à retenir:
· la période d'hiver n'est pas propice à ce genre d'opération car les commerçants ne peuvent pas laver à grandes eaux en raison du risque de gelée et de salissure du trottoir.
· Une affichette rappelant l'obligation de maintenir sa devanture dans un état de propreté satisfaisante serait très utile.
La Phase 2 est programmée avant Noël, en lien avec le CAPP et la DU afin de se montrer le plus complet possible.
Je ne manquerai pas de vous tenir informés au fur et à mesure de ces actions qui s'inscrivent dans la durée.
Geoffroy Boulard
Adjoint au Maire du 17e arrondissement
délégué à la Sécurité, à la Politique de la Ville et au Développement économique
Tél.: 01 44 69 17 86 - 01 44 69 13 34
Blog : www.geoffroy-boulard.eu/blog
Que réserve la phase 2
aux commerçants de
l'avenue de Clichy
avant Noël
La phase 2 a eu lieu
en matinée du 18 décembre 2012
aucune information sur l'opération
le silence
Les commerçants de proximité de l'avenue de Clichy sont exaspérés par la fréquence des contrôles
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le mot incivilité est mal perçu
par les commerçants et le
président de l'ACAJA
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A lire
http://vivrelemarais.typepad.fr/blog/2012/12/les-incivili...
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http://www.sudouest.fr/2011/04/27/et-maintenant-quoi-fair...
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http://www.rue89.com/2012/12/22/le-concept-dincivilite-pe...
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http://www.ledemocratedebergerac.fr/article/27/01/2011/in...
Ce dossier n'est pas classé par l'ACAJA
16:32 Écrit par JCJ dans Avenue de Clichy | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
La mise en valeur des vitrines---quartier des Epinettes --- Paris 17e
Les vitrines de Noël 2012
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Les plus belles vitrines de Noël reviennent en 5ème année
Quartier des Epinettes
Paris 17ème
Illuminations
Shopping
Vitrines
Les vitrines brilleront pour les fêtes de fin d'année 2012
- rue de La Jonquière
- avenue de Clichy
- boulevard Bessières
- rues avoisinantes
Les commerçants de proximité du quartier des Epinettes vous accueilleront dans la lumière de leur magasin
...
Les vitrines seront décorées pour le plaisir de vos yeux
L'ACAJA ne participe plus aux illuminations des rues, pour des raisons économiques. Les commerçants qui subissent la crise financière n'ont plus les moyens de participer. Il faut savoir qu'à Paris 70% de la facture des illuminations sont payés par les commerçants et des recettes "exceptionnelles"... des associations...et 30% par la Ville de Paris.
...
Depuis 5 années
L'ACAJA et la CAPAC décernent le
"PRIX du JURY"
aux commerçants qui ont réalisé les plus belles décorations de vitrines à l'occasion des fêtes
de fin d'année
...
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00:32 Écrit par JCJ dans Décoration des vitrines 2012/2013 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
07/12/2012
Connu ou ne pas être connu --- de la police.
En réponse à de nombreux
commerçants inquiets
suite à des rumeurs
Source blog dalloz
Tout d’abord, suffit-il d’être connu d’un seul agent de police ou faut-il l’être de plusieurs ? Et si oui, de combien ? Deux, trois, dix ? À moins qu’il ne faille être connu « des services » en général, sans plus de précision : police municipale, nationale, des frontières, gendarmerie ?
Il existerait, en effet, d’après des sources dignes de foi, de nombreux « fichiers » officiellement destinés à recenser les personnes ayant eu maille à partir avec la Justice, au sens large, puisque peuvent y figurer, non seulement des personnes soupçonnées d’activités portant atteinte à l’ordre public, mais également certaines victimes. Il est vrai que la CNIL s’en est émue et a réussi à faire disparaitre celui d’entre eux, baptisé sans égard pour celles qui portent ce prénom le fichier EDVIGE, qui semblait enfreindre de la manière la plus brutale le respect des droits individuels. Chacun sait, toutefois, qu’il en subsiste bien d’autres, et que plusieurs millions de citoyens y occupent, paraît-il, une place qu’ils ne revendiquent pas.
Et là me vient, naturellement, une nouvelle question : comment puis-je savoir si je suis ou non défavorablement connu des services de police ? Puis-je, tout simplement, me rendre au commissariat de mon quartier et demander de mon air le plus naïf : « Monsieur l’agent, puis-je vous demander respectueusement de me dire si je suis défavorablement connu de vos services ? ». La question est d’autant plus pertinente que, si l’on en croit un rapport de la CNIL (et, si on ne peut plus croire les rapports de la CNIL, à qui se fier ?), seules 17 % des données enregistrées dans certains fichiers ne comporteraient par d’erreur. C’est peu.
Inutile de conclure. Mais comment ne pas évoquer d’un mot, et dans un contexte complètement différent, la règle récemment introduite en droit douanier, selon laquelle les entreprises qui pratiquent le commerce international honnête peuvent obtenir de l’administration divers allègements de contrôle de leurs opérations, à condition d’obtenir un agrément administratif, et cela notamment, sous certaines conditions, parmi lesquelles, on l’aura deviné, celle d’ « être connues » des services douaniers (Décis. adm. 29 juill. 2009, BO Douanes, n° 6838, 3 août 2009).
Claude J. Berr
Professeur émérite de l’Université de Grenoble
2 Réponses à “Etre ou ne pas être connu, voilà la question”
01:56 Écrit par JCJ dans Association de commerçants ACAJA, Commerces de Proximité Quartier des Epinettes | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
Dalloz allo MAM bobo!
Concernant la fiabilité de certains fichiers, reste à définir sur quels points précis portent les erreurs qui s’y trouvent pour établir leur gravité ou futilité.
Ensuite, ce n’est pas le fait qu’une personne soit connue défavorablement de la police qui fait entrer une juridiction pénale en voie de condamnation. Et c’est bien cela qui, in fine, importe. Car que la police suspecte, il n’y a là rien d’anormal, c’est la mission qui lui est confiée par la société – elle veille.
Et l’exemple de la « présence suspecte d’un véhicule en stationnement » ne répond que partiellement à cette problématique.
Si j’ai bien suivi, le prévenu ne l’est pas d’avoir eu mauvaise réputation, mais d’être propriétaire d’un véhicule chargé de stupéfiants. Que la procédure ait été cassée par la cour de cassation au motif que la perquisition ait été illégale, soit. C’est couramment le lot des affaires de stupéfiants où l’on débat, plus souvent qu’ailleurs, de cas de nullités, d’erreurs de droit, car le fond est souvent sans équivoque. Et l’illégalité de cette perquisition découlait, elle même, du fait que la flagrance n’ait pas été bien établie aux yeux de la cour. On pourra en débattre en droit, à savoir à partir de quel moment la flagrance commence -est-ce à partir du moment où le policier aperçoit de ses yeux le crime, ou partir du moment où le policier reçoit un appel lui indiquant son existence-, s’il y a eu cassation, c’est nécessairement que la réponse ne coule pas de source.
Mais, j’insiste, le motif de poursuite ne réside pas dans le fait d’être connu défavorablement de la police mais bien dans la commission d’un délit ou crime, qui s’est trouvée mise en lumière plus aisément par le fait, pour le mis en cause, d’être connu défavorablement de la police.
Il n y a là rien d’anormal. On peut attendre de la police qu’elle soit familière de sa clientèle habituelle, en particulier en matière de criminalité organisée où la notion d’habitude délinquante fait sens.
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Rien ne vous empêche d'engager une procédure judiciaire à l'encontre d'une personne qui vous désigne comme un "connu défavorable" par la police.