En 2013

Vous rendez-vous régulièrement dans des

épiceries de nuit ?

-

Marius, Paris 17, comédien, 45 ans

OUI. Je trouve que les petites épiceries renforcent la proximité. Il faut les soutenir. En plus, elles nous arrangent bien quand il nous manque un produit et restent ouvertes tard dans la nuit. Par exemple, quand il me faut de l'huile ou du sel, je sais où je peux les trouver sans me demander si l'épicerie est fermée ou non. L'accueil y est agréable, c'est propre, on s'y sent bien.

-

Nadia, Paris 17, infirmière, 35 ans

NON. Je dirais plus à l'occasion. C'est très utile, pratique, pour moi qui travaille à l'hopital Bichat .Quand je rentre tard le soir à mon domicile rue de La Jonquière , je passe par les Epinettes et l'épicerie de nuit est sur le trajet, il y a même une place de parking pour s'y garer devant. J'achète des yaourts, du fromage, etc. Pour dépanner il n'y a rien de mieux.

-

Mohamed, Paris 17, en recherche d'emploi, 37 ans

OUI. Je viens parfois en semaine et le week-end à l'épicerie de nuit PHONE-J-PLUS rue de La Jonquière . Le concept est bien, ça me dépanne pour les courses de dernière minute. D'autant que je ne suis pas toujours prévoyant dans mes achats Il me manque souvent des produits à la maison (sourire). ..

---

Marius - Nadia - Mohamed

 

eux ils aiment les épiciers de nuit

 

du quartier des Epinettes

 

ils n'ont pas la haine à l'encontre des

 

 

épiciers de nuit

Les Vietnamiens Républicains ne sont pas en retard pour 2014

Ils ne sont pas en retard les Vietnamiens Républicains, Une

 bonne leçon pour CEUX qui s'autoproclament élus de terrain.

 Les commerçants de l'ACAJA ne seront pas muets, nous avons

 déjà une stratégie HORIZON 2014. Notre mémoire ne sera pas

défaillante.

---

 

 

 

par Chi Thien NGUYEN

Compte rendu de la dernière réunion d’information organisée par l’Union des Vietnamiens Républicains.

De toutes tendances, de tous les milieux et de tous âges ainsi peut-on résumer les participants à cette réunion.

Loin d’être une opération de promotion pour avoir de nouveaux adhérents pour l’Union des Vietnamiens Républicains, des élus et responsables politiques d’origine vietnamienne ont apporté leur savoir et expérience.

• Le constat d’une discrétion qui a atteint ses limites.
• Le constat de l’exploitation dont les vietnamiens (et asiatiques) sont victimes.
• Le constat d’une implication nécessaire malgré nos habitudes culturelles.

Pas de polémique ou de débat sur telle ou telle tendance ou parti politique.

Faire front !

• Aller au-delà de notre discrétion coutumière.
• Faire front pour nous au-delà de notre réussite sociale ou professionnelle.
• Faire front pour notre quotidien car la gestion de la municipalité nous touche directement.
• Faire front pour nos enfants car c’est ici et demain qu’ils vivent et grandiront.

Sans dérive partisane, sensibilisons notre famille, nos proches, nos amis, la communauté à cette nécessité citoyenne.

• Inscrivons-nous sur les listes électorales…
• Quelque soit notre tendance politique, allons voter.
• Faisons front pour peser enfin dans les décisions qui nous concernent.

Voulez-vous améliorer le cadre de la commune ou la ville dans laquelle vous vivez ?

Alors impliquez-vous. Voter c’est déjà vous impliquer. Alors faites-le !

Participez au débat ! Soyez acteur des règles qui régissent votre quotidien !

Incivilité des commerçants avenue de Clichy

Ou en sommes nous

La phase 2 a eu lieu

le 18 décembre 2012

---

http://acaja.hautetfort.com/archive/2012/12/08/incivilite...

 

Rue89 : D’où vient le terme « incivilités » ? Depuis quand est-il utilisé en France et comment a-t-il été importé dans le langage courant ?

Carole Gayet-Viaud : Le terme est assez ancien mais son sens actuel date des années 90. Il vient des Etats-Unis, par l’intermédiaire des théories dites de la « vitre brisée » qui touchent à la politique de sécurité urbaine et à la prévention de la délinquance.