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06/03/2013

L'accessibilité du commerce --- avenue de Clichy --- emplacement N°1

 

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Jean-Pierre Lehmann -

président de la Fédération nationale des centres-villes

 

 

Quels sont les critères pour choisir son emplacement ? Jean-Pierre Lehmann, président de la Fédération nationale des centres-villes fait le point sur ce sujet et évoque les pistes de développement pour le commerce en centre-ville.

« L'accessibilité du commerce est plus prioritaire que son emplacement »

Que faut-il privilégier dans le choix de son emplacement ?
Avoir un emplacement là où il y a du passage, c’est toujours mieux. Mais cela dépend de son activité, c’est nécessaire pour certaines et pour d’autres moins. Pour un restaurant, il n’est pas obligatoire d’être implanté sur les emplacements n°1, car les clients peuvent marcher 500 m de plus pour s’y rendre.
Pour moi, l’accessibilité du commerce est plus prioritaire que son emplacement. Car il est souvent d’être difficile d’accéder au centre-ville et de s’y garer.
Du coup, on assiste au développement de zones en semi-périphérie (entre le centre et la périphérie), qui se déploient par exemple autour d’un cinéma de quartier.
Attention, les collectivités locales développent des politiques pour promouvoir les transports en commun. Or ceux-ci ne remplaceront jamais la voiture, c’est une erreur de vouloir la bannir des villes.

Quel type de commerces occupent les emplacements n° 1 ?
Aujourd’hui, ils sont réservés exclusivement aux grandes chaînes internationales et aux banques, les seules qui ont les moyens d’y figurer. Du coup, certaines villes, comme Toulouse, ont mis en place des dispositifs pour réglementer l’accès aux banques. Ces rues posent un autre problème : le soir, elles sont vides et désertes…
Mais les rues n° 1 restent les rues n°1, même si elles souffrent un petit peu, en raison des travaux pour développer les transports en commun (bus, tramways…) Dans ces rues, les loyers restent très élevés même s’ils ont tendance à se tasser.
Dans 99 % des cas, il n’y a pas d’emplacements vides. Alors que dans les rues n° 2 et n°3, il y a une rotation plus importante et des locaux qui peuvent rester vacants. Ce phénomène se renforce avec une conjoncture difficile.

Quels sont les projets de la fédération ?
Notre souhait est d’organiser le centre- ville comme le ferait un centre commercial avec des thèmes. Pour cela, il faut arriver à avoir une meilleure maîtrise sur le foncier, pour trouver les enseignes qui manquent dans certains domaines. Nous voulons mettre en place un organisme de veille, qui surveille l’état des commerces et si des emplacements se libèrent. Cet organisme de pilotage, dont les membres seraient rémunérés par les collectivités locales, les fédérations de commerçants, irait chercher les enseignes pour qu’elles viennent s’installer. L’idée c’est d’avoir un centre-ville attractif, avec des thématiques (haut de gamme, décoration…). Cela existe déjà dans certaines villes mais cela pourrait être fait de manière plus lisible.

 

04/03/2013

Les fraudeurs qui emboucanent les clients avec de la viande avariée !

 

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Il est plus facile de tracasser un épicier de nuit du quartier des Epinettes qui a vendu une bouteille de pinard après 22h30

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Que de signifier une fermeture administrative à une

Grande Surface Alimentaire qui fraude

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Merci à mon ami Franck qui m'a transmis cette vidéo

JCJ

 

La remballe

Cette pratique est connue

 dans toute le France.

Les employés sont complices

de ces salopards qui exigent cette fraude

...

La sécurité alimentaire nous pourrions en

parler dans les CCQ du 17ème

au lieu de brailler sur d'autres sujets.

...

La tromperie ça suffit

...

le 5 mars 2013

les langues se délient en nous signalant

des enseignes nationales des quartiers :

Epinettes - Batignolles 

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La remballe est une pratique de déconditionnement et reconditionnement d'aliments périssables, notamment la viande et le poisson. C'est une pratique illégale, en vertu des lois sanitaire et de protection du consommateur.

 

15:16 Écrit par JCJ | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer | |

La solidarité --- Commerçants Solidaires

 

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La solidarité

un mot utilisé fréquemment

dans le 17e arrondissement

de Paris

Nous avons même un

Adjoint au Maire chargé de la solidarité

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Les soldats d'Afrique solidaires, ayons de la mémoire.

Comme elles l’avaient fait pendant la Première Guerre mondiale, la France et la Grande-Bretagne font appel aux soldats de leur empire pour combattre à leurs côtés.

SOLDATS DE LA « PLUS GRANDE FRANCE ». Dès 1939, la France mobilise ses soldats de l’outre-mer. Venus d’Afrique du Nord (Algérie, Maroc et Tunisie), ils constituent l’Armée d’Afrique. Les soldats issus du reste des colonies se regroupent dans ce qu’on appelle l’Armée coloniale : 10 000 d’entre eux sont des Indochinois, 10 000 viennent de Madagascar et plus de 68 000 arrivent d’Afrique noire. Mais les plus nombreux, 340 000 environ, sont des Maghrébins. Ces hommes veulent avant tout servir leur « mère-patrie » : la France. Ils appartiennent à des unités militaires qui portent les noms de tirailleurs, zouaves, spahis, goums ou tabors… L’armée est pour eux l’occasion de sortir de leur milieu social, de découvrir d’autres horizons et de prouver leur valeur guerrière.

ENGAGES DES 1939 Dès la « Drôle de guerre », les soldats de l’Empire paient un lourd tribut. Chargés avec leurs compagnons métropolitains de garder la frontière, transis dans les tranchées de Sedan, ils s’apprêtent à faire face à une invasion allemande. Après la défaite de la France, en mai 1940, le général de Gaulle appelle les représentants de l’Empire à poursuivre le combat aux côtés de l’Angleterre. L’action de l’armée d’Afrique prend toute sa dimension avec le débarquement allié en Afrique du Nord, en novembre 1942. S’engage alors la campagne de Tunisie, au cours de laquelle les tabors marocains et algériens font preuve de courage et d’habileté, en particulier lors des missions se déroulant dans les zones montagneuses difficiles d’accès.

De la campagne d’Italie au débarquement de Provence

Après une grande victoire en Tunisie, les « Africains » sont mis à la disposition des Alliés qui s’apprêtent à débarquer en Sicile. Equipés de matériel américain, les tabors montrent, une fois de plus, leurs exceptionnelles qualités de combattants qui se révéleront indispensables dans le débarquement en Italie, puis dans la laborieuse reconquête du pays. Composant une grande partie des troupes alliées, les soldats africains subissent, là encore, de lourdes pertes ;

Le débarquement en Provence, en août 1944, constitue pour eux la prochaine étape. Sous le commandement du général de Lattre de Tassigny, les troupes d’Afrique jouent un rôle essentiel dans la libération de Marseille, de Toulon, et dans la réduction des poches de résistance allemandes.

Jusqu’à la frontière du Reich

Participant activement à la libération de la France, l’« Armée d’Afrique » qui supporte les plus durs combats est exténuée. Privées de relève et de permissions, elle affronte les ultimes attaques de l’armée du Reich dans les Vosges, dans la plaine d’Alsace et dans les Ardennes, théâtre d’une terrible contre-attaque allemande en décembre 1944. Des combats acharnés se déroulent par un froid glacial et dans la neige abondante, au milieu de champs de mines. La ténacité des troupes africaines finit pas l’emporter.

Un lourd tribut à la victoire

Ces jeunes Malgaches, Togolais, Sénégalais, Marocains, Algériens, Tunisiens, Indochinois… ont été arrachés à leur montagne ou à leurs champs et , après un bref entraînement, se sont retrouvés en première ligne face aux balles ennemies. Encadrés par des officiers français, ils se sont battus avec un immense courage et ont longtemps attendu leurs récompenses, attribuées en priorité aux combattants de France métropolitaine. Déçus par la « mère-patrie », oubliés au moment où s’est écrite l’histoire de la Seconde Guerre mondiale, ils gardent un profond sentiment d’injustice, encore vif aujourd’hui.

L’Empire britannique au combat

Le Commonwealth, Empire britannique, vient lui aussi au secours de sa métropole, servant sur tous les théâtres de la guerre : océan Atlantique, Europe, Afrique du Nord, jungle et mer d’Asie du Sud-Est. Certains pays, comme l’Australie, ne se sont pas contentés de combattre dans l’ombre de la Grande-Bretagne mais ont eux-mêmes pris la décision de déclarer la guerre à l’Allemagne. Le Canada, qui n’est pas directement menacé sur son territoire par les armées du Reich, n’hésite pas en entrer en guerre dès 1939, une semaine après l’Angleterre. Produisant un effort de guerre considérable, en envoyant ses troupes combattre en Italie, en Normandie et en Allemagne, le Canada aura apporté une aide indispensable à la victoire en Europe.

Atlas de la Seconde Guerre mondiale, Isabelle Bournier et Marc Pottier, Casterman, 2006

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L'Association des Commerçants et Artisans de la rue de La Jonquière et des rues Adjacentes, connue sous le sigle ACAJA a de la mémoire.
Elle soutient les fils et petits fils des combattants d'Afrique qui sont devenus commerçants de proximité, comme les épiciers dépanneurs du quartier des Epinettes et qui souffrent en raison de décisions injustes à leur encontre.
Nous, les"commerçants solidaires" de l'ACAJA "On ne lâchera pas" nos amis du Club des épiciers.
Nous remerçions les quelques élus du 17e de droite et de gauche qui nous soutiennent dans notre action qui a commencé en mai 2009.
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http://acaja.hautetfort.com/commercants-solidaires/