Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

21/10/2012

Le BINGE DRINKING dans le 17ème ?

 

SIGLE ACAJA2 -2-.jpg

 

Le binge drinking expose les jeunes femmes aux agressions sexuelles

 Une étude confirme que le binge drinking est une pratique courante des jeunes dès l’entrée à l’Université. Pis, les jeunes femmes testent aussi l’hyperalcoolisation avec pour résultat un risque élevé d’agressions sexuelles.

Le binge drinking, ou biture express, consiste à consommer une forte dose d’alcool en une seule occasion afin d’atteindre rapidement un état d’alcoolisation élevé, mais également très dangereux.
En effet, une alcoolisation massive peut entraîner un coma éthylique parfois mortel, sinon des troubles digestifs, cardiovasculaires et surtout cognitifs, avec perte de mémoire, tentatives de suicide, augmentation du risque de consommations de drogues (cannabis, cocaïne…). Le binge drinking s’accompagne également de troubles du comportement, dont des conduites sexuelles à risque (rapports sexuels non protégés d’où risque de maladies sexuellement transmissibles et de grossesse non désirée) et une conduite en état d’ivresse. Ainsi, en Europe, 10% des accidents mortels chez les jeunes filles et 25% chez les jeunes garçons sont liés à l'intoxication à l'alcool.

Selon cette nouvelle étude menée auprès de 437 jeunes femmes entrant en première année à l’Université, la moitié d’entre elles ont pratiqué au moins une fois le binge drinking durant leur premier semestre universitaire. Et 25 à 60% d’entre elles ont été victimes d’agression sexuelle. Parmi les jeunes filles qui ont déclaré avoir bu en une seule fois 4 à 6 verres, une sur quatre a été victime d’abus sexuel, allant de contacts sexuels au viol. Le risque augmente avec la quantité d’alcool consommé. Ainsi, à partir de 10 verres, 59% des jeunes femmes déclarent avoir été victimes d’une agression sexuelle.
On retiendra que la prévention du binge drinking chez les jeunes est un impératif. Mais parallèlement, il convient de les mettre en garde contre les violences sexuelles. Celles qu’ils pourraient proférer à l’encontre d’autrui sous l’emprise de l’alcool, mais également celles dont ils pourraient être victimes… La société a un rôle à jouer, mais les parents aussi doivent intervenir pour mettre en garde leurs enfants qui entrent à l’Université et ce, même s’ils sont en passe de devenir des adultes, sous-entendu capables d’assurer leur sécurité… en toute lucidité…

Rappelons que les agressions sexuelles, qu’elles aient lieu ou non sous l’emprise de l’alcool et qu’elles soient commises avec violence, sous la contrainte, la menace ou la surprise, sont punies par la loi (de 5 ans d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende).

Il y a des lieux de rencontres ou se pratique le

BINGE DRINKING 

dans le 17ème arrondissement de Paris, n'en déplaise à

ceux qui prétendent le contraire 

Dixit Roslyne Bachelot

On voit des jeunes acheter des palettes de bières dans les supermarchés et les boire comme ça à la file.

Elle ne parle pas des épiciers de nuit !!!

Elle connaît le sujet, il suffit de lire la Loi Bachelot pour s'en convaincre.

http://videos.doctissimo.fr/sante/sante-publique/prevenir...

 

Le "binge drinking" correspond à des consommations excessives ponctuelles d’alcool. Ces comportements exposent les jeunes à de nouveaux dangers. Un problème dont la Ministre de la santé, Roselyne Bachelot, entend bien s’occuper. Découvrez son interview exclusive.

En France, une étude nationale montre que parmi les jeunes de 17 ans, près d’un sur deux a bu au moins 5 verres d’alcool en une seule occasion durant le mois précédent. Ces "mauvaises habitudes" interviennent surtout le week-end ou lors de fêtes. Ces données traduisent un changement de comportement des jeunes vis-à-vis de l’alcool.

Roselyne Bachelot : L’alcoolisme a beaucoup changé. On est passé d'un alcoolisme de convivialité à un alcoolisme beaucoup plus violent, et qui a pour but de s'enivrer extrêmement brutalement. C'est ce qu'on appelle en termes anglais, le "Binge drinking".

On a longtemps cru que cette recherche rapide d’ivresse resterait cantonné aux pays anglo-saxons et nordiques. Mais aujourd’hui, le phénomène est bien présent en France.

Roselyne Bachelot : Et c'est vrai que les campagnes d'alcoolisme, les campagnes contre l'alcoolisme ont généralement été orientées vers ces campagnes de convivialité. " Tu t'es vu quand tu as bu " ou montrant des gens dans une situation amicale. Ce n'est plus ça l'alcoolisme des jeunes. Le but ce n'est pas de boire avec des copains, c’est vraiment d'avoir un flash alcoolique, très rapide, très violent.

Perte de contrôle, violences physiques et sexuelles, accidents…les dangers de ces excès sont multiples. Outre-Manche, des campagnes chocs ont été lancées fin 2006 appelant les jeunes à "  connaître leurs limites ". Se prendre pour un super-héros sous l’emprise de l’alcool peut avoir des conséquences fatales.
En France, de nouvelles campagnes sont actuellement à l’étude.

Roselyne Bachelot : On voit des jeunes acheter des palettes de bières dans les supermarchés et les boire comme ça à la file. Et il faut donc réfléchir à ces nouveaux modes d'alcoolisme et c’est ce que nous sommes en train de faire au ministère de la santé et avec notre bras armé qui est l'institut national d'éducation à la santé, l’INPES, de prévention et d'éducation à la santé, pour justement adapter des messages qui ne le sont plus pour les nouveaux modes d'alcoolisation des jeunes.

En plus des dangers immédiats, le binge drinking est également accusé de sensibiliser sur le long terme le cerveau aux effets de l’alcool. Un phénomène qui favoriserait la dépendance et les dangers sur le système nerveux cardiovasculaire et digestif.

Propos recueillis par David Bême et Valérie Brouchoud, le 30 octobre 2007

08/10/2012

Le déclin est de retour dans le secteur La Jonquière---Paris 17e

SIGLE ACAJA2 -2-.jpg

Le déclin économique est de retour dans le secteur La Jonquière, l'insécurité économique persiste.

Une épicerie de proximité qui ferme

Pourquoi?

 

SAGE FEMME BERZ.jpg

34 rue de La Jonquière Paris 17e

---

Une sage-femme qui transfert son cabinet

 du 56 rue Berzélius Paris 17e.

 Local loué par la SEMAEST dans le cadre de la requalification économique du quartier des Epinettes

 

SAGE FEMME BERZ 002.jpg

 Des habitants quittent la rue Berzélius.

Pourquoi ?

L'insécurité

 

 

 

 

 

07/10/2012

L'insécurité quartier des Epinettes --- Paris 17e

 

 SIGLE ACAJA2 -2-.jpg

Ce billet date du 22.08.2009

Depuis 2009

l'insécurité est toujours présente

secteur La Jonquière - avenue de Clichy

Nous sommes le 7 octobre 2012

Ou en sommes nous pour la sécurité des biens et des personnes, la sécurité routière, la vente de produits illicites sur la voie publique, le BINGE DRINKING dans les quartiers périphériques des Epinettes etc...

 

SAGE FEMME BERZ 002.jpg

Cabinet de la sage-femme dans un local Semaest 56,rue Berzélius transféré pour des raisons bien connues des riverains et des patientes.  

 

Une menace directe pour la qualité de vie 

quartier des Epinettes.

Malheureusement pour le quartier des Epinettes, ces derniers mois ont largement apporté la preuve que tous les micros quartiers des Epinettes qui ont vu mourir peu à peu leurs commerces de proximité, ont ensuite été confrontés à de très graves problèmes d'insécurité, de heurts entre les différents types de population. Cette situation crée peu à peu des zones de non-droit désertées par les chalands pour céder la place à des bandes organisées.

Nombre d'habitants du quartier des Epinettes ont déjà une impression d'insécurité.

Qu'en sera-t-il lorsque les vitrines seront remplacées du matin au soir par des rideaux métalliques tagués?

L'ACAJA-CAPAC groupement associatif des commerçants et artisans du quartier des Epinettes, secteur rues de la Jonquière-Berzélius-Boulay-Paul Bodin-Paul Brousse, avenue de Clichy et boulevard Bessières, milite pour la re dynamisation commerciale des commerces de proximité,

"le club des silencieux"

doit s'attendre

à du "rififi protestataire"!

...

Les braquages contre les commerces de proximité prolifèrent

dans le quartier des Epinettes

...

Que faut-il protéger ?

Comment se protéger ?

Comment prévenir l'insécurité ?

...

Il n'y a pas de "petits braquages" et de "petits braqueurs"

Il y a des "braquages" ,  des "braqueurs"

et des victimes traumatisées

...

Il faudra aussi parler de l'insécurité économique

concernant les commerçants de proximité

du quartier des Epinettes

Les épiciers de nuit sont actuellement en première ligne !

et d'autres commerçants

SAGE FEMME BERZ.jpg

Magasin fermé 54, rue de La Jonquière "cessation d'activité" exit les épiciers de nuit

 ...

L'ACAJA et la CAPAC se préparent à militer dans le cadre de la lutte contre l'évasion commerciale de son territoire au profit du futur Centre Commercial de la Porte d'Aubervilliers!

...

VEILLONS AUX GRAINS

7 octobre 2012

La police nationale est sur le terrain du secteur associatif ACAJA-CAPAC, nous le reconnaissons, mais les moyens dont elle dispose sont ils suffisants ou adaptés.

 Les gardiens de la paix, les gradés, les officiers, les commissaires ont le sens du devoir.

Il revient aux citoyens et au monde associatif du quartier des Epinettes de se faire entendre des élus.

On ne lâchera pas §.png

 

 

...