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15/02/2011

On à lu

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On a lu N°40...

Le projet des Tours de Levallois est relancé

Tour de Levallois semarelp.jpgAprès la décision du tribunal de commerce de Paris cassant l’engagement qui liait la ville de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) à un cheikh saoudien, le projet des Tours de Levallois va pouvoir reprendre.


 
 
photo Semarelp
 
 
«La Ville de Levallois et le groupe Semarelp (société d'économie mixte de Levallois-Perret) ont retrouvé l'intégralité de leurs droits pour mener à bien l'opération des Tours de Levallois en partenariat avec de nouveaux investisseurs», a précisé la municipalité dans un communiqué.

Cette déclaration intervient après la décision du tribunal de commerce de Paris cassant l’engagement entre la ville de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) et un cheikh saoudien.
 
Pour rappel, en juin 2008, Mohamed bin Issa al-Jaber avait acquis les droits à construire (240 millions d'euros) des tours de Levallois, hautes de 164 mètres, qui devaient être livrées en 2012. Mais ce projet ambitieux peinait à voir le jour en raison de plusieurs paiements de retard. Aujourd’hui, le projet semble trouver un second souffle.

Les tours ultramodernes de 40 étages doivent abriter des bureaux, un hôtel de luxe de plus de 400 chambres, 40 boutiques haut de gamme et un restaurant gastronomique.

08:01 Écrit par JCJ dans On a lu | Lien permanent | Commentaires (2) |  Facebook | |  Imprimer | |

Commentaires

Un cheikh saisi par le fisc

Le Point.fr - Publié le 16/02/2012 à 15:14

Mohamed Bin Issa al-Jaber avait été choisi par Balkany pour construire des tours de plus 150 mètres à Levallois.

Le cheikh saoudien Mohamed Bin Issa al-Jaber, qui s'est fait connaître en s'alliant à Patrick Balkany dans le projet pharaonique de tours jumelles de 40 étages et de 164 m de haut dominant la Seine à Levallois, a quelques soucis avec le fisc. Le Trésor public lui réclame des dettes fiscales et sociales. Pour se payer, l'administration a débarqué au beau milieu d'un de ses hôtels, Amarante à Cannes, pour en saisir les meubles et les faire vendre aux enchères. Le milliardaire possède près d'une trentaine d'hôtels en France.

Une enquête sur la situation financière de JJW, son entreprise, a été diligentée par le tribunal de commerce de Paris. Contactés par téléphone, JJW France et maître Ardavan Amir Aslani, avocat des principaux créanciers, se sont refusés à tout commentaire.

C'est sans doute en raison de ses déboires que les investissements à Levallois ont capoté. En juin 2008, Mohamed Bin Issa al-Jaber avait acheté 240 millions d'euros les droits à construire ces futurs immeubles qui devaient être livrés en 2012, selon La Gazette des communes. Accumulant les retards de paiement, le cheikh saoudien a été débarqué par Balkany, qui l'avait pourtant choisi trois ans auparavant.

Et vendredi dernier, le tribunal de commerce de Paris a condamné le magnat saoudien à payer 20 millions de dommages et intérêts à la ville.

Par Aziz Zemouri

Écrit par : matoupixxy | 02/04/2012

Merci pour l'information. Une recette exceptionnelle pour la Ville de Levallois.

Écrit par : JC Janan | 03/04/2012

Les commentaires sont fermés.