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04/12/2016

STOP au déni.

COUP DE GUEULE

suite au signalement du 25 novembre 2016

sur Facebook par Karl Berkemam

 

A lire par les personnes en responsabilité du 17ème, qui sont restées silencieuses (sur ordre) suite à la chute d'un citoyen handicapé à cause d'un trottoir dont la réfection a été réalisée avec une dénivellation dangereuse  par une entreprise, sur un chantier 37, boulevard Bessières Paris XVII.  
Le 3 décembre 2016 les personnalités se sont fait les leaders du Téléthon sur Facebook.
 
Aux Epinettes 
Les lieux publics sont toujours aussi inaccessibles pour les handicapés, et tout le monde s'en fout
Les lieux publics se doivent de pouvoir être fréquentés par tous les publics.
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Journée du handicap (quel drôle de mot !), semaine du Téléthon ou année des minorités visibles, les formules passent mais les problèmes subsistent.

Voilà des lustres, qu'à longueur de médias, on nous chante l'éveil des consciences et la prise en compte de la singularité de chacun.

Il n'empêche qu'à l'arrivée l'inaccessibilité tient toujours toutes ses promesses.
Une inaccessibilité de la cité qui empêche la banalisation des regards.

Il faut bien avouer que pour tout ce qui boite, béquille ou roule, se déplacer dans nos villes relève du parcours du combattant.

Nul besoin d'être titulaire d'une carte d'invalidité permanente pour s'en apercevoir.
Une jambe cassée aux sports d'hiver ou le landau d'un heureux événement sont parfois bien révélateurs.

Alors forcément les handicapés hésitent à sortir .

Fatalement ils finissent par se murer dans des ghettos de tabous et d'incompréhensions réciproques.

Le vrai problème n'est pas tant le handicap à assumer que le quotidien, la vie et la bêtise de tous les jours qui "sur–handicapent" la personne dite à mobilité réduite.

Et j'ajoute que cette notion de handicap est tellement relative qu'elle ne tient que par son côté universel.

Debout, assis, couchés, ne sommes-nous tous pas en définitive des "handicapés potentiels" en puissance ?

Les lieux publics se doivent de pouvoir être fréquentés par tous les publics.
Or, ce n'est pas le cas.

Le vote l'an passé par l'assemblée Nationale du report de la mise en accessibilité des lieux destinés à recevoir du public est à ce sujet des plus amusants.

Un délai supplémentaire pouvant aller de trois à neuf ans a été généreusement accordé aux contrevenants.

Et tout le monde s'en fout.

Le véritable enjeu n'est pas tant le droit à la différence, que celui, à terme, du droit à l'indifférence.

Alors que faire ?
L’image contient peut-être : vélo

 La dénivellation dangereuse à hauteur

du 37, boulevard Bessières à Paris XVII

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La dénivellation dangereuse mise en sécurité le 1er décembre 2016

suite à la visite de nombreux fonctionnaires de la Ville de Paris

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L'homme victime de la mauvaise réfection du trottoir,

un habitant de la rue Frédéric Brunet

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Danièle une femme bien connue du quartier des Epinettes, elle s'est retrouvée à l'hôpital Bichat, diagnostic sévère foulure de la cheville.éléphone

Jérôme Dubus Conseiller de Paris à pris de ses nouvelles par téléphone.

 

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  Nous sommes en veille sur le terrain et Internet

La synergie associative est en marche

aux Epinettes

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06/09/2016

Montage d'un échafaudage

Pour réaliser le ravalement d'une façade  d'immeuble il faut des

Echafaudages sûrs

Montage sûr

Source:Vidéo SUVA durée 10'50''

 

Le 6 septembre 2016

Jean-Claude Janan, Président de l'association des Commerçants et Artisans de l'ACAJA et membre du collège "personnes qualifiées" du CCQ Epinettes-Bessières à Paris 17ème, assiste à une réunion concernant le ravalement d'immeubles de PARIS HABITAT secteur Porte Pouchet Paris 17ème.

De nombreux habitants et commerçants, ainsi que Karl Berkemal habitant et Président du Club Pouchet Sport, dénoncent avec force, depuis des mois l'installation des échafaudages. 

Découvrons les différentes séquences

du montage d'un échafaudage

 

EPI: Equipement Protection Individuel

Signaliser le chantier

Contrôler régulièrement le chantier

Installer une protection contre les chutes

Réceptionner l'échafaudage à l'aide d'un Procès Verbal

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La sécurité des personnes n'a pas de prix

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27/04/2016

Suite à la réunion du 25 avril 2016 en Mairie du 17ème

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Le sentiment d’insécurité persiste

rue de La Jonquière et rues avoisinantes

à Paris XVII


Les commerçants et les habitants se plaignent de ces groupes de jeunes qui squattent la rue La Jonquière et les rues avoisinantes Sauffroy, Gauthey, Berzélius, Guy Môquet à longueur de journée, et jusque tard dans la nuit. 

Le trafic de stupéfiants qui s’est implanté secteur La Jonquière nuit à l’image du quartier des Epinettes à Paris 17ème.

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Le climat d’insécurité qui y règne désespère les commerçants et les habitants.


Faut-il en parler, pour faire bouger les choses ?

Faut-il se taire, pour éviter de faire de la mauvaise publicité au quartier La Jonquière-Epinettes ?

Les commerçants de la rue La Jonquière  et rues avoisinante sont face à un dilemme. 

Des jeunes bruyants, parfois agressifs ou provocateurs perturbent le bien vivre.

Cela fait des mois, voire des années, que le  quartier La Jonquière est devenu l’un des centres du trafic de stupéfiants à Paris 17ème.

Face à cette situation qui affecte plus ou moins le chiffre d’affaires des commerçants, aujourd’hui, ils se sentent parfois impuissants, parfois fatalistes.

D’une part, la vente de drogues.

D’autre part, les agressions et incivilités qui émaillent régulièrement la vie du quartier.

Et, pour les commerçants, cette désagréable impression que l’un et l’autre sont liés sans qu’aucune des mesures mises en place ne parvienne à les annihiler.

Au cours de ces derniers mois, les attroupements de jeunes se sont légèrement déplacés, de quelques dizaines de mètres.

De la rue Berzélius, ils ont glissé rues La Jonquière, Sauffroy et Gauthey pour investir maintenant la rue Guy Môquet.

 Il y a des regroupements de jeunes qui sont bruyants, parfois agressifs ou provocateurs, et qui font peur aux clients.

Quand ils sont une dizaine devant un commerce, les clients ne viennent plus.

Les matinées, rue La Jonquière, sont encore relativement paisibles. Mais au fil de l’après-midi, de la soirée et de la nuit, à mesure que la troupe des « squatters » augmente, l’ambiance change. 

De nombreux commerçants disent en avoir ras-le-bol. Ils perdent du chiffre d’affaires. Ils sont en train de se "casser la gueule". Ils payent des impôts et des taxes, ils ont quand même le droit d’être protégés pour travailler.

Les avis divergent sur les responsables de ce pourrissement de situation. Pour les uns, c’est la Mairie qui ne fait rien ; pour les autres, la police qui ne fait pas assez bien ; pour d’autres encore, c’est la justice « laxiste » ou des parents « démissionnaires ».

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 La police du commissariat central de Paris XVII passe dix fois par jour,

à pied, en voiture ou en moto.

Les policiers contrôlent tout le temps.

On ne peut pas leur reprocher de ne pas faire leur boulot

ils ont le sens du devoir.

 Les jeunes s’en foutent. Ils s’arrangent toujours pour ne rien avoir d'illicite sur eux .

***

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Il faut savoir

Le sentiment d’insécurité en milieu urbain est une crainte multiforme basée sur la criminalité, les incivilités et les actes d’intimidation et de violence dans les espaces publics.

Le sentiment d’insécurité dans un lieu public est déterminé par une évaluation personnelle du risque.

Ce processus d’évaluation permet aux personnes, à la suite d’un indice d’alerte, d’analyser l’environnement global d’un espace public urbain.

Cette évaluation personnelle du risque s’effectue grâce à un patron d’organisation de l’information sur l’environnement externe composé de trois pôles : les générateurs microsociaux de l’insécurité, la disponibilité de l’aide et la présence de témoins ; les caractéristiques du milieu bâti ; auxquelles s’ajoutent les variables personnelles de même que le contexte macrosociologique.

L’évaluation personnelle du risque permet de reconnaître les facteurs de risque, mais aussi les facteurs de protection dans l’environnement physique et social, comme l’aide disponible, et de les mobiliser pour rétablir la sécurité. 

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