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15/03/2013

La souffrance des commerçants de proximité --- La Jonquière --- bas de l'avenue de Clichy --- boulevard Bessières et rues avoisinantes --- Quartier des Epinettes à Paris 17e !

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A deux pas du plus grand chantier de Paris

ZAC Clichy - Batignolles

de nombreux commerçants, artisans de proximité et leurs employés sont en souffrance

dans le quartier des Epinettes.

Secteur associatif ACAJA-CAPAC

.

 

Les épiciers dépanneurs:

Depuis 2008, en raison d'une décision injuste à leur encontre, ceux qui exercent leur activité dans le secteur La Jonquière et bas de l'avenue de Clichy deviennent des commerçants pauvres.

Pour  s'en convaincre il suffit de bavarder avec eux.

Ils seraient responsables de tous les maux :insécurité et nuisances nocturnes.

Les restaurants de proximité :

Le taux de fréquentation des restaurants est en baisse depuis le départ des entreprises du secteur gare Cardinet et du boulevard Bessières.

En soirée, les gentils restaurateurs du quartier des Epinettes ne font pas appel aux voituriers !

Eux aussi connaissent la tracasserie des contrôles.

Les artisans plombiers- électriciens :

Il bataillent pour trouver une place de stationnement, fréquemment ils sont verbalisés.

Les Zones Livraisons occupées illicitement par des flibustiers et quelques fois par des cabanes de chantier avec une autorisation de la Préfecture de Police.

Ils sont victimes du travail au noir : combien de fonctionnaires verbalisés dans le quartier des Epinettes pour cette activité illicite ?

Les salariés : 

Connaissent chaque jour la galère de la Ligne 13.

Beaucoup d'employés craignent de perdre leur emploi en raison du fléchissement de l'activité économique dans le secteur La Jonquière - bas de l'avenue de Clichy - boulevard Bessières et rues avoisinantes. 

...

L'ACAJA et la CAPAC

remercient les élus qui agissent et viennent à la rencontre des commercants de proximité qui sont en souffrance.

...

Nous reviendrons prochainement sur la sécurité pour tous et plus

particulièrement pour les mises en danger

des commerçants de proximité

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10/01/2013

Renforcer la sécurité dans l'arrondissement --- du 17e

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Lu sur le blog de la Mairie du 17e.

 

Un objectif partagé

Un objectif partagé : renforcer la sécurité dans l’arrondissement

 

En charge des dossiers suivis par le regretté Jean-François Divry, Geoffroy Boulard, adjoint au maire chargé de la Sécurité, de la Prévention, à la Politique de la ville, n’élude pas la question de la délinquance aux Epinettes et du sentiment d’insécurité qu’il peut générer : « De part et d’autre du pont de la Jonquière, autour de la piscine, il existe des bandes qui empoisonnent la vie des riverains. » La lutte contre les bandes est l’une des priorités du contrat local de sécurité et de la mandature. « Rue Curnonski, à la limite de Levallois, c’est relativement plus grave, dans ce quartier de tours enclavé, car le trafic de drogue est difficile à éradiquer, précise-t-il. Mais les statistiques n’enregistrent pas d’augmentation d’actes de délinquance. » Le commissaire divisionnaire Duminy, qui commande les effectifs de police du 17è arrondissement, est confronté à une double problématique : le sentiment d’insécurité ressenti par les habitants et l’insécurité réelle enregistrée statistiquement. « Aux Epinettes, reconnaît-il, avec la proximité du 93, du 18è arrondissement et l’importance de la population défavorisée, nous sommes dans un quartier privilégié des services de police. C’est un pôle attractif pour le trafic et la consommation de stupéfiants, avec des points de fixation de jeunes en déshérence comme la Villa Sain- Ange et le Mail Bréchet. Mais si on se livre à une analyse statistique, il y a moins de faits constatés aux Epinettes que du côté de la Porte Maillot. » Rue Berzélius et près de la piscine de la Jonquière, le sentiment d’insécurité est provoqué par des outrages aux policiers ou des refus d’obtempérer. « En terme de délinquance, il n’y en a pas plus qu’ailleurs, assure le commissaire Duminy. L’action pénale ou nos interventions quotidiennes pour décourager les comportements déviants, l’occupation des halls d’immeubles a ses limites. Il faut reprendre ce que Jean-François Divry – dont j’appréciais la qualité d’écoute et l’énergie – a mis en place pour responsabiliser les jeunes qui entrent dans le schéma de délinquance. »

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Bruits de voisinage, nuisances sonores

 

Numéros à connaître
Commissariat central du 17ème - Tél. 01 44 90 37 17
Direction prévention protection de la Ville de Paris - Tél. 01 42 76 73 73
Division interventions et contrôle des nuisances sonores -DPJEV - Tél. 01 40 19 74 40 / 52
GPIS (Surveillance du parc social - 17 h 30 - 5 h) - Tél. 01 58 60 20 28
Conciliateur de justice à la mairie du 17ème - Tél. 01 44 69 17 00 pour prise de rendez-vous

 

 

21/10/2012

Le BINGE DRINKING dans le 17ème ?

 

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Le binge drinking expose les jeunes femmes aux agressions sexuelles

 Une étude confirme que le binge drinking est une pratique courante des jeunes dès l’entrée à l’Université. Pis, les jeunes femmes testent aussi l’hyperalcoolisation avec pour résultat un risque élevé d’agressions sexuelles.

Le binge drinking, ou biture express, consiste à consommer une forte dose d’alcool en une seule occasion afin d’atteindre rapidement un état d’alcoolisation élevé, mais également très dangereux.
En effet, une alcoolisation massive peut entraîner un coma éthylique parfois mortel, sinon des troubles digestifs, cardiovasculaires et surtout cognitifs, avec perte de mémoire, tentatives de suicide, augmentation du risque de consommations de drogues (cannabis, cocaïne…). Le binge drinking s’accompagne également de troubles du comportement, dont des conduites sexuelles à risque (rapports sexuels non protégés d’où risque de maladies sexuellement transmissibles et de grossesse non désirée) et une conduite en état d’ivresse. Ainsi, en Europe, 10% des accidents mortels chez les jeunes filles et 25% chez les jeunes garçons sont liés à l'intoxication à l'alcool.

Selon cette nouvelle étude menée auprès de 437 jeunes femmes entrant en première année à l’Université, la moitié d’entre elles ont pratiqué au moins une fois le binge drinking durant leur premier semestre universitaire. Et 25 à 60% d’entre elles ont été victimes d’agression sexuelle. Parmi les jeunes filles qui ont déclaré avoir bu en une seule fois 4 à 6 verres, une sur quatre a été victime d’abus sexuel, allant de contacts sexuels au viol. Le risque augmente avec la quantité d’alcool consommé. Ainsi, à partir de 10 verres, 59% des jeunes femmes déclarent avoir été victimes d’une agression sexuelle.
On retiendra que la prévention du binge drinking chez les jeunes est un impératif. Mais parallèlement, il convient de les mettre en garde contre les violences sexuelles. Celles qu’ils pourraient proférer à l’encontre d’autrui sous l’emprise de l’alcool, mais également celles dont ils pourraient être victimes… La société a un rôle à jouer, mais les parents aussi doivent intervenir pour mettre en garde leurs enfants qui entrent à l’Université et ce, même s’ils sont en passe de devenir des adultes, sous-entendu capables d’assurer leur sécurité… en toute lucidité…

Rappelons que les agressions sexuelles, qu’elles aient lieu ou non sous l’emprise de l’alcool et qu’elles soient commises avec violence, sous la contrainte, la menace ou la surprise, sont punies par la loi (de 5 ans d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende).

Il y a des lieux de rencontres ou se pratique le

BINGE DRINKING 

dans le 17ème arrondissement de Paris, n'en déplaise à

ceux qui prétendent le contraire 

Dixit Roslyne Bachelot

On voit des jeunes acheter des palettes de bières dans les supermarchés et les boire comme ça à la file.

Elle ne parle pas des épiciers de nuit !!!

Elle connaît le sujet, il suffit de lire la Loi Bachelot pour s'en convaincre.

http://videos.doctissimo.fr/sante/sante-publique/prevenir...

 

Le "binge drinking" correspond à des consommations excessives ponctuelles d’alcool. Ces comportements exposent les jeunes à de nouveaux dangers. Un problème dont la Ministre de la santé, Roselyne Bachelot, entend bien s’occuper. Découvrez son interview exclusive.

En France, une étude nationale montre que parmi les jeunes de 17 ans, près d’un sur deux a bu au moins 5 verres d’alcool en une seule occasion durant le mois précédent. Ces "mauvaises habitudes" interviennent surtout le week-end ou lors de fêtes. Ces données traduisent un changement de comportement des jeunes vis-à-vis de l’alcool.

Roselyne Bachelot : L’alcoolisme a beaucoup changé. On est passé d'un alcoolisme de convivialité à un alcoolisme beaucoup plus violent, et qui a pour but de s'enivrer extrêmement brutalement. C'est ce qu'on appelle en termes anglais, le "Binge drinking".

On a longtemps cru que cette recherche rapide d’ivresse resterait cantonné aux pays anglo-saxons et nordiques. Mais aujourd’hui, le phénomène est bien présent en France.

Roselyne Bachelot : Et c'est vrai que les campagnes d'alcoolisme, les campagnes contre l'alcoolisme ont généralement été orientées vers ces campagnes de convivialité. " Tu t'es vu quand tu as bu " ou montrant des gens dans une situation amicale. Ce n'est plus ça l'alcoolisme des jeunes. Le but ce n'est pas de boire avec des copains, c’est vraiment d'avoir un flash alcoolique, très rapide, très violent.

Perte de contrôle, violences physiques et sexuelles, accidents…les dangers de ces excès sont multiples. Outre-Manche, des campagnes chocs ont été lancées fin 2006 appelant les jeunes à "  connaître leurs limites ". Se prendre pour un super-héros sous l’emprise de l’alcool peut avoir des conséquences fatales.
En France, de nouvelles campagnes sont actuellement à l’étude.

Roselyne Bachelot : On voit des jeunes acheter des palettes de bières dans les supermarchés et les boire comme ça à la file. Et il faut donc réfléchir à ces nouveaux modes d'alcoolisme et c’est ce que nous sommes en train de faire au ministère de la santé et avec notre bras armé qui est l'institut national d'éducation à la santé, l’INPES, de prévention et d'éducation à la santé, pour justement adapter des messages qui ne le sont plus pour les nouveaux modes d'alcoolisation des jeunes.

En plus des dangers immédiats, le binge drinking est également accusé de sensibiliser sur le long terme le cerveau aux effets de l’alcool. Un phénomène qui favoriserait la dépendance et les dangers sur le système nerveux cardiovasculaire et digestif.

Propos recueillis par David Bême et Valérie Brouchoud, le 30 octobre 2007