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24/02/2013

Les commerçants solidaires existent ---

 

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POUR MEMOIRE

Les commerçants solidaires

Article paru dans la revue

Le Commerce de Paris

de droite à gauche

Philippe Solignac Président et 

Gérald Barbier Vice président

de la CCI Paris

 

 

 

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Le 22 juin, la Mairie de Paris, la Chambre de commerce et d'industrie de Paris et la Chambre de métiers et de l'artisanat de Paris, en partenariat avec le RSI et les fédérations professionnelles ont lancé la 4ème édition de la « campagne de prévention canicule et en faveur du lien intergénérationnel », chez les commerçants solidaires de Paris.

Philippe Solignac, président de la Chambre de commerce et d'industrie de Paris-Délégation de Paris, Gisèle Stievenard, adjointe au maire de Paris chargée de la politique de la ville et de l’engagement solidaire, Liliane Capelle, adjointe au maire de Paris chargée des seniors et du lien intergénérationnel, en partenariat avec Christian Le Lann, président de la Chambre de métiers et de l’artisanat de Paris et le soutien du RSI Île-de-France centre, ont donné le coup d’envoi, le 22 juin, de la campagne 2012 de prévention canicule et en faveur du lien intergénérationnel.

Près de 400 commerçants (boulangers-pâtissiers, fleuristes, bouchers, buralistes, hôteliers, restaurateurs, cafetiers et crémiers-fromagers et, depuis cette année, libraires, primeurs et locataires de la SEMAEST, vont se mobiliser tout au long de l’été auprès des personnes âgées et de leur entourage : ils joueront un rôle de "vigie sociale" dans leur quartier et diffuseront des informations pratiques utiles en cas de canicule. Ils orienteront les personnes vulnérables notamment vers les Points Paris Émeraude.

Une trentaine d'équipes formées de volontaires de la Ville de Paris (bénévoles de la Réserve solidaire et, depuis cette année, des jeunes du service civil volontaire), de la CCIP (élus et collaborateurs) et des fédérations professionnelles ont distribué aux commerçants solidaires les kits communication de la campagne 2012 : vitrophanie permettant d’identifier les commerçants membres du réseau, présentoir mettant à la disposition des clients des fascicules d’information, mémos avec coordonnées utiles,…).


Soutenir et valoriser les commerçants, vecteurs de lien social
Aujourd’hui, 20% de la clientèle des commerçants de proximité est composée de personnes âgées. Celles-ci entretiennent des relations quotidiennes avec les commerçants de leur quartier : achat du pain chez le boulanger, petits achats d’épicerie, de fruits et légumes chez le primeur, passage au café ou chez le marchand de journaux, renouvellement des médicaments chez le pharmacien, visite chez le libraire,… Les commerçants sont donc pour eux un interlocuteur naturel et essentiel en période estivale pour prévenir, orienter et alerter en cas de difficultés notoires.


Lancé en 2009, le réseau des commerçants solidaires de Paris s'appuie sur la vocation de proximité des commerçants et leur volonté de s'engager dans de grandes causes de solidarité et d'intérêt général.



Photo de groupe devant le siège de la CCIP Paris au 2 place de la Bourse (2e), avant le départ pour la remise des kits de communication aux membres du  réseau des commerçants solidaires.  © Guy Bréhinier/CCIP Paris



                                                                                                                                                                                               


Catherine Alunno, boulangerie de la Fontaine Gaillon entourée de Gisèle Stievenard, adjointe au maire de Paris chargée de la politique de la ville et de l'engagement solidaire, Pascal Barillon, vice-président de la Chambre de métiers et de l'artisanat de Paris, Liliane Capelle, adjointe au maire de Paris chargée des seniors et du lien intergénérationnel et Jacques Mabille, président de la Chambre professionnelle des artisans boulangers-pâtissiers de Paris et de la région parisienne. © Guy Bréhinier/CCIP

Les commerçants et artisans du groupement ACAJA-CAPAC sont tous des SOLIDAIRES

 La solidarité nous connaissons
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L'ACAJA est membre du comité de rédaction de la revue
Le Commerce de Paris
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Les nuits parisiennes !!!

 

Source : Le Point__

Paris, "capitale européenne du sommeil" ? Deux ans après les "états généraux" organisés par la Ville pour répondre à leur cri d'alarme, les professionnels de la nuit parisiens dressent un bilan en demi-teinte des mesures mises en place.

Le maire de Paris Bertrand Delanoë reviendra sur le sujet dans le cadre de ses comptes-rendus de mandat, mardi à la mairie du IVe arrondissement.

Lancée en octobre 2009, la pétition "Quand la nuit meurt en silence" avait fait grand bruit. Signée par plus de 16.000 personnes ou organismes dont les principaux syndicats de la professions, elle s'alarmait que la "loi du silence généralisée" transforme la Ville lumière en belle endormie.

Les Etats généraux organisés en novembre 2010 avaient esquissé des pistes de réponse pour tenter d'apaiser les relations entre les établissements de nuit et les riverains, particulièrement tendues depuis l'entrée en vigueur de l'interdiction de fumer dans les bars, début 2008.

La plus visible d'entre elles, la mise en place des "Pierrots de la nuit", des équipes de clowns qui tournent dans les quartiers festifs pour inciter les noceurs à la discrétion, ne fait pas l'unanimité.

Eric Labbé, l'un des auteurs de la pétition de 2009, juge la mesure "infantilisante", et son efficacité reste à démontrer aux yeux des riverains, de l'aveu même de Stéphane Martinet, élu chargé du dossier à la mairie du XIe arrondissement.

La Ville de Paris a aussi mis en place dans six arrondissements des comités de médiation réunissant mairie, police, riverains et professionnels, qui s'efforcent de dénouer les situations les plus conflictuelles.

Si Eric Labbé regrette le caractère erratique de cette médiation, "pas forcément régulière et coordonnée", d'autres, comme Florent Ciccoli, membre fondateur de Culture Bar-Bars en Ile-de-France, saluent "une vraie volonté de la mairie de faire avancer les choses, avec ses armes".

"Le problème, c'est que c'est la préfecture de police qui reste le vrai décideur", ajoute-t-il.

Plus qu'une médiation, les professionnels souhaiteraient la mise en place d'une procédure de conciliation préalable au couperet de la fermeture administrative ou du retrait de l'autorisation de nuit.

"Les fermetures administratives sont des procédures non contradictoires", regrette Bruno Blanckaert, patron du Rex et président de la chambre syndicale des cabarets artistiques et discothèques (CSCAD). Cette fragilité des établissements face au "fait du prince" est l'une des raisons qui dissuadent certains "gros opérateurs de la nuit" européens de s'implanter à Paris, selon M. Blanckaert.

D'autres mesures sont avancées, comme la création d'une sanction contre les riverains mauvais coucheurs qui abusent des signalements pour tapage, innovation suggérée par la députée socialisteSandrine Mazetier dans une proposition de loi de 2011.

Restent les contraintes propres au tissu urbanistique parisien: "les rues sont petites, les murs sont fins, les voisins sont proches", observe Rod Reynolds, fondateur du collectif Dcontract, qui organise des fêtes dans des lieux insolites de la capitale.

Consciente de cette difficulté, la mairie soutient l'implantation d'établissements dans les zones les moins densément peuplées, le long des quais de Seine -où a récemment ouvert le Wanderlust- ou "dans les gares de petite ceinture", explique Mao Péninou, maire adjoint de M. Delanoë chargé du bureau des temps.

D'autres, comme Rod Reynolds ou Bruno Blanckaert, se prennent à rêver que le Grand Paris soit aussi celui de la fête, et que les noceurs partent à la conquête des friches de proche banlieue.

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08:29 Écrit par JCJ | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer | |

23/02/2013

Distributeur Automatique de Billets ---Rue de La Jonquière --- Paris 17e

 

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Revenons sur le dossier

DAB

Distributeur Automatique de Billets

Rue de La Jonquière 

Depuis des années l'ACAJA s'adresse aux élus et à quelques banquiers pour obtenir un DAB, la réponse qui nous est faite par les élus : oui on va s'en occuper

 par les banquiers : on va étudier la faisabilité d'installer un DAB

...

L'absence d'un DAB rue de La Jonquière devient inadmissible pour les habitants et les commerçants de proximité.

Pour mémoire

Voici quelques années l'ACAJA demande au directeur de la banque CHAABI du MAROC si il était possible d'avoir un DAB à l'agence du bas de l'avenue de Clichy.

6 mois

après notre demande un DAB était installé à la grande satisfaction des habitants, commerçants et touristes

du bas de l'avenue de Clichy

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Un rue commerçante sans DAB

est condamnée au déclin économique

Nous aimons notre rue de La Jonquière

et nous militerons pour obtenir un DAB

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