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10/04/2010

Non aux violences faites aux femmes

Le SLAM un vecteur de communication!
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"Les épiciers de nuit sont-ils responsables des violences faites aux femmes"
...
A en croire certains citoyens
les épiciers de nuit de proximité seraient responsables
de tous les maux.
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Au(x) donneur(s) de leçons ?
de Lille à Nice en passant par Paris et Toulouse
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Un slam  de Lester Bibal
pochette-affichemodele2.jpg
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Commentaire écrit le 9 avril 2010, par Jean-Paul Slameur du quartier des Epinettes.
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"Nous le savions déjà, mais il est bon de le rappeler : le rap et le slam sont porteurs de valeurs.
Les violences conjugales ne sont l'exclusivité d'aucune classe sociale, on les retrouve dans tous les milieux.
Il ne faut pas nier l'importance de ce fléau.
Le Premier Ministre l'a compris en le déclarant Grande Cause Nationale.
Combien de femmes battues ont trouvé refuge dans un commerce de nuit, dans un premier temps avant d'aller au commissariat ?
Bientôt elles n'auront plus ce refuge !
J'espère que ceux qui font la guerre aux épiciers de nuit n'ont pas d'arrière-pensée !
Ce serait à désespérer de la République !
Tenons le coup !"
...
 Croisade contre les épiciers de nuit ...!!!???
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Commentaires

Nos le savions déjà, mais il est bon de le rappeler : le rap et le slam sont porteurs de valeurs. Les violences conjugales ne sont l'exclusivité d'aucune classe sociale, on les retrouve dans tous les milieux.

Il ne faut pas nier l'importance de ce fléau. Le Premier Ministre l'a compris en le déclarant Grande Cause Nationale.

Combien de femmes battues ont trouvé refuge dans un commerce de nuit, dans un premier temps, avant d'aller au commissariat ? Bientôt elles n'auront plus ce refuge !

J'espère que ceux qui font la guerre aux épiciers de nuit n'ont pas d'arrière-pensée ! ça serait à désespérer de la République !

Tenons le coup !

Écrit par : Jean-Paul | 09/04/2010

Les violences faites aux femmes est un fléau national.
Les statistiques font apparaitre différents types d'auteurs.
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Les épiciers de nuit découvrent une nouvelle forme de répression et d'entrave à la liberté du commerce.
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Les habitants des immeubles dits "sociaux" sont victimes d'entraves dans les halls et aux abords des entrées d'immeubles, qui sont les contrevenants ? les auteurs des nuisances sonores, des injures, des trafics...etc.
Les bailleurs sociaux ne tombent pas sous le coup d'un arrêté minicipal ou préfectoral, pourtant ils sont prestataires de services.

Écrit par : JCJ-VAG 17 | 10/04/2010

Dans sa besace l'ACAJA doit avoir un dossier sur les violences faites aux femmes.

Écrit par : Charlotte | 11/04/2010

Effectivement dans la besace et les tiroirs des acajistes il y a des "INDICations".

Écrit par : jcj | 13/04/2010

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