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20/02/2012

Conseil de Sécurité ... Paris 17e

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La lettre d'information du Conseil de Sécurité et de Prévention de la Délinquance du 17e arrt. de Paris

N°6 - janvier 2O12

Reçue par mél le 31/01/2012

Nous avons lu le paragraphe ci-dessous

 

• Arrêté d’interdiction de consommation et de vente de boissons alcooliques.

 

A la demande de Brigitte Kuster, une réunion aura lieu prochainement pour faire le point sur les conditions d’exercice et d’application de l’arrêté d’interdiction de consommation et de vente de boissons alcooliques sur la voie publique dans certaines voies de l’Est du 17e, en lien avec la Préfecture de Police.

---

 ... 

L'ACAJA ne fait pas partie du CSPD, à ce jour aucune nouvelle sur la réunion.

...

Voeu de Monsieur Thierry Coudert 

 DELIBERATION N° 17-11-210

 OBJET : Voeu relatif à la vente de boissons alcooliques du 2ème au 5ème groupes de 22 heures 30 à 7 heures, sur le domaine public dans certaines voies du 17ème arrondissement - VMA17-11-37

 

DELIBERE

 

 A la majorité, avis favorable est donné au voeu proposé par Thierry COUDERT

 

 Nombre de votants : 27 dont 7 pouvoirs écrits

 

 Pour : 15 (M. BENESSIANO, M. BERTHAULT, M. COUDERT, M. COURCELLE, Mme D’ORLANDO, Mme DOUVIN, Mme DUMAS,

 

 Mme GASNIER, Mme JACQUEMONT, M. LEDRAN, Mme PAPAREMBORDE, Mme PEYRICOT, M. ROBEIN, M. STEIN, M.VINCENT)

 

 Contre : 2 (Mme BENCHERIF, M. BOULARD)

 

 Abstention : 10 (Mme KUSTER, Mme BESSIS, Mme CANDLOT, Mme DE PANAFIEU, M. LAVAUD, Mme NAHMIAS, M. PERIFAN, M. REMOND, Mme TOURY, Mme VENTURINO)

 

 Ne prend pas part au vote : 9

 

...

Ou en sommes nous ?

http://acaja.hautetfort.com/epicier-commercants-de-nuit/

 

 

 

 

Ouverture dominicale des magasins

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Lu : Journal les Echos

Le dimanche focalise les débats des candidats à la présidentielle sur le commerce

Nicolas Sarkozy souhaite assouplir encore les règles d'ouverture dominicale des magasins. Prudent, François Hollande parle, lui, d'engager des négociations.

Ecrit par
Philippe BERTRAND
Philippe BERTRAND
Sous-chef de service
 
 
Le sujet est passionnel, mêlant impératifs économiques pour certaines enseignes et enjeux sociétaux pour ceux qui, des syndicats à l'Eglise, refusent le tout-consumérisme. De quoi s'agit-il ? De la question de l'ouverture des magasins le dimanche. Sans surprise, alors qu'ils profitaient vendredi matin des Etats généraux du commerce organisés à Paris par le Conseil du commerce de France (CdCF), les principaux candidats à l'élection présidentielle ont brossé à grands traits leur programme pour la distribution. Et, une nouvelle fois, le débat se focalise sur l'activité dominicale.

 

Au nom du président-candidat Nicolas Sarkozy, Frédéric Lefebvre, secrétaire d'Etat à la Consommation et au Commerce, a proposé d'« élargir les conditions d'ouverture des magasins le dimanche ». C'est « vous donner plus de liberté, c'est de la croissance pour vos commerces, c'est de l'emploi pour les Français », a-t-il affirmé, sans préciser quelles formes prendraient les « assouplissement » suggérés. Tout juste le ministre a-t-il rappelé qu'il s'agissait de s'« adapter à l'évolution des modes de vie » et de renforcer « l'attractivité touristique de la France ».

 

Les professionnels n'attendent pas de « banalisation »

 

De son côté, par vidéo interposée, François Hollande s'est engagé vendredi à ouvrir des négociations sur le travail du dimanche en cas d'accession à l'Elysée, pour parvenir à un « équilibre » entre les droits des salariés et les besoins des commerçants. Une position ménageant la susceptibilité de tous les acteurs concernés. Parlant d'un sujet « controversé », le candidat socialiste sait que les syndicats de salariés sont opposés à la généralisation du travail le dimanche et sont attachés au fait qu'il soit pratiqué en échange de contreparties.

 

De fait et de façon quasi unanime, les professionnels concernés, employeurs comme employés, ne prêchent pas pour une généralisation de l'ouverture le dimanche. Le Conseil du commerce de France (CdCF) demande la possibilité pour les commerçants d'ouvrir librement de 10 à 12 dimanches par an, même lorsqu'ils sont situés hors zone touristique. « Le monde du commerce n'est pas favorable à ouvrir tous les commerces, tous les dimanches, dans toute la France », a expliqué Gérard Atlan, président du CdCF. « On ne veut pas que soit banalisée l'ouverture du dimanche et étendue à l'ensemble du commerce en France », a confirmé vendredi Bertrand Morvan, président de la Fédération nationale de l'habillement, représentant les commerçants indépendants du textile.

 

Déjà de nombreuses dérogations

 

Pour sa part, Christian Pimont, président de l'Alliance pour le commerce (trois fédérations du commerce actives dans l'équipement de la personne comptant de grandes enseignes comme membres), s'est dit favorable à l'ouverture dominicale pour des endroits très fréquentés par les touristes étrangers, comme le quartiers des grands magasins Haussmann à Paris. Mais « dans une ville du fin fond de la France, ce n'est dans l'intérêt de personne d'ouvrir beaucoup plus largement », a-t-il ajouté. Premier syndicat à réagir, la CFTC s'est prononcée pour le statu quo  : « On nous avait dit que la loi sur le dimanche dite loi Maillé fixait les choses dans le marbre et qu'on y reviendrait plus », a déclaré Joseph Thouvenel, vice-président.

 

Depuis longtemps, les magasins disposent d'une demi-douzaine de dérogations à l'interdiction d'exercer le dimanche possibles accordées à la demande par les préfectures et souvent utilisées au moment des fêtes de fin d'année. Par ailleurs, la loi sur le travail du dimanche du 10 août 2009, dite loi Maillé, permet des ouvertures de magasins le dimanche qui varient en fonction du type de commerce et du lieu. Il s'agit des zones touristiques ou des zones en périmètre d'usage de consommation exceptionnelle dit « Puce ». Enfin, les commerces n'employant pas de salariés sont libres d'ouvrir le dimanche, sauf arrêté préfectoral contraire.

 

PHILIPPE BERTRAND

00:03 Écrit par JCJ | Lien permanent | Commentaires (1) |  Facebook | |  Imprimer | |

19/02/2012

Les commerces de proximité ... du quartier des Epinettes ... à Paris 17e

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Commerces et services de proximité :
des emplois au coin de la rue

 

Les commerces de proximité n’existent plus que dans une commune sur deux. Pourtant, ils forment bien souvent le cœur des villes et des villages. L’arrivée il y a trente ans de la grande distribution les a fragilisés. Mais ils répondent aujourd’hui à une nouvelle demande d’achat et de conseil personnalisé, et recrutent beaucoup !
 
EPICERIE

Les hypermarchés vont-ils tuer les petits commerces ?
On a longtemps pu le croire, à constater les fermetures des épiceries dans les villages, et celles des boucheries ou des poissonneries dans les centres-villes... Ces commerces ont vu leur nombre diminuer très significativement ces dernières années. Mais certains ont résisté plus facilement, comme la boulangerie ou les fleuristes. Et aujourd’hui, le petit commerce semble renaître, notamment dans les villes !


Le nombre de supérettes, considérées comme des “locomotives” du commerce de milieu urbain, a ainsi augmenté de 27,5 % en 10 ans. Le nombre de boutiques spécialisées dans le commerce des boissons est en hausse depuis 1999. Le secteur des produits de santé et d’hygiène (pharmacie, optique, parfumerie...) est en pleine expansion. Les magasins d’équipements de la personne (habillement, chaussures...) ont beaucoup misé sur le franchisage. Enfin, les marchés de plein air se maintiennent et réapparaissent même dans certains quartiers parisiens, où les « bobos » apprécient leur aspect convivial.

Les seniors apprécient la qualité et la facilité de service

Ce renouveau des commerces et services de proximité s’explique d’une part par l’arrivée à l’âge « senior » des générations nombreuses de l’après-guerre, qui recherchent une qualité et une facilité de service, et apprécient l’accueil, le conseil et le produit personnalisé qu’elles trouvent dans ces structures de proximité. Il s’explique d’autre part par l’évolution plus globale des modes de consommation : les achats en centre-ville, sur les marchés ou dans les commerces de quartier, sont de plus en plus vécus comme une forme de loisir, conformes à l’air du temps qui veut que l’on fasse davantage attention à ce que l’on mange, à ce que l’on consomme...

Cette évolution représente un nouveau vivier d’emplois : pour perdurer, les commerces de proximité doivent répondre aux attentes de cette nouvelle clientèle en expansion. De nombreux artisans (boulangers, pâtissiers, bouchers, traiteurs, coiffeurs...) et commerçants recherchent des apprentis, afin de les seconder puis de prendre leur suite. Pour s’installer à son compte, le brevet professionnel reste le meilleur sésame, mais un CAP permet de trouver du travail sans difficultés. Quant aux vendeurs, ils doivent - encore plus qu’ailleurs - connaître leurs produits sur le bout des doigts, savoir écouter et conseiller la clientèle, et leur proposer la meilleure qualité de service possible.




Le commerce de proximité en chiffres, c’est... :
- 394 000 entreprises : commerces de détail et activités artisanales associées (boulangerie, pâtisserie, boucherie, charcuterie...).
- 1 950 000 personnes en équivalent temps plein.
- 343 milliards d’euros de chiffre d’affaires total hors taxes.

Source : pme.gouv.fr.

Les opposants aux commerces de proximité sont connus

...

le groupe

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défend les commerçants de proximité