- B.L. avec l'AFP
- Publié le 19/10/2012 | 21:49
10/01/2013
Renforcer la sécurité dans l'arrondissement --- du 17e
Lu sur le blog de la Mairie du 17e.
Un objectif partagé
Un objectif partagé : renforcer la sécurité dans l’arrondissement
En charge des dossiers suivis par le regretté Jean-François Divry, Geoffroy Boulard, adjoint au maire chargé de la Sécurité, de la Prévention, à la Politique de la ville, n’élude pas la question de la délinquance aux Epinettes et du sentiment d’insécurité qu’il peut générer : « De part et d’autre du pont de la Jonquière, autour de la piscine, il existe des bandes qui empoisonnent la vie des riverains. » La lutte contre les bandes est l’une des priorités du contrat local de sécurité et de la mandature. « Rue Curnonski, à la limite de Levallois, c’est relativement plus grave, dans ce quartier de tours enclavé, car le trafic de drogue est difficile à éradiquer, précise-t-il. Mais les statistiques n’enregistrent pas d’augmentation d’actes de délinquance. » Le commissaire divisionnaire Duminy, qui commande les effectifs de police du 17è arrondissement, est confronté à une double problématique : le sentiment d’insécurité ressenti par les habitants et l’insécurité réelle enregistrée statistiquement. « Aux Epinettes, reconnaît-il, avec la proximité du 93, du 18è arrondissement et l’importance de la population défavorisée, nous sommes dans un quartier privilégié des services de police. C’est un pôle attractif pour le trafic et la consommation de stupéfiants, avec des points de fixation de jeunes en déshérence comme la Villa Sain- Ange et le Mail Bréchet. Mais si on se livre à une analyse statistique, il y a moins de faits constatés aux Epinettes que du côté de la Porte Maillot. » Rue Berzélius et près de la piscine de la Jonquière, le sentiment d’insécurité est provoqué par des outrages aux policiers ou des refus d’obtempérer. « En terme de délinquance, il n’y en a pas plus qu’ailleurs, assure le commissaire Duminy. L’action pénale ou nos interventions quotidiennes pour décourager les comportements déviants, l’occupation des halls d’immeubles a ses limites. Il faut reprendre ce que Jean-François Divry – dont j’appréciais la qualité d’écoute et l’énergie – a mis en place pour responsabiliser les jeunes qui entrent dans le schéma de délinquance. »
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Bruits de voisinage, nuisances sonores
Numéros à connaître
Commissariat central du 17ème - Tél. 01 44 90 37 17
Direction prévention protection de la Ville de Paris - Tél. 01 42 76 73 73
Division interventions et contrôle des nuisances sonores -DPJEV - Tél. 01 40 19 74 40 / 52
GPIS (Surveillance du parc social - 17 h 30 - 5 h) - Tél. 01 58 60 20 28
Conciliateur de justice à la mairie du 17ème - Tél. 01 44 69 17 00 pour prise de rendez-vous
02:02 Écrit par JCJ dans Sécurité rue de La Jonquière, Sécurité-Insécurité, Sécurité-Insécurité secteur ACAJA-CAPAC | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
22/10/2012
Bar à chicha
Dijon : le gérant d'un bar à chicha condamné pour infraction à la loi antitabac
La cour d'appel de Dijon a confirmé la condamnation d'un gérant d'un bar à chicha pour infraction à la loi antitabac dans les lieux publics. Cette décision pourrait faire jurisprudence.
17:25 Écrit par JCJ dans Sécurité des biens et des personnes, Sécurité rue de La Jonquière, Sécurité-Insécurité | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
21/10/2012
Le BINGE DRINKING dans le 17ème ?
Le binge drinking expose les jeunes femmes aux agressions sexuelles
Le binge drinking, ou biture express, consiste à consommer une forte dose d’alcool en une seule occasion afin d’atteindre rapidement un état d’alcoolisation élevé, mais également très dangereux.
En effet, une alcoolisation massive peut entraîner un coma éthylique parfois mortel, sinon des troubles digestifs, cardiovasculaires et surtout cognitifs, avec perte de mémoire, tentatives de suicide, augmentation du risque de consommations de drogues (cannabis, cocaïne…). Le binge drinking s’accompagne également de troubles du comportement, dont des conduites sexuelles à risque (rapports sexuels non protégés d’où risque de maladies sexuellement transmissibles et de grossesse non désirée) et une conduite en état d’ivresse. Ainsi, en Europe, 10% des accidents mortels chez les jeunes filles et 25% chez les jeunes garçons sont liés à l'intoxication à l'alcool.
Selon cette nouvelle étude menée auprès de 437 jeunes femmes entrant en première année à l’Université, la moitié d’entre elles ont pratiqué au moins une fois le binge drinking durant leur premier semestre universitaire. Et 25 à 60% d’entre elles ont été victimes d’agression sexuelle. Parmi les jeunes filles qui ont déclaré avoir bu en une seule fois 4 à 6 verres, une sur quatre a été victime d’abus sexuel, allant de contacts sexuels au viol. Le risque augmente avec la quantité d’alcool consommé. Ainsi, à partir de 10 verres, 59% des jeunes femmes déclarent avoir été victimes d’une agression sexuelle.
On retiendra que la prévention du binge drinking chez les jeunes est un impératif. Mais parallèlement, il convient de les mettre en garde contre les violences sexuelles. Celles qu’ils pourraient proférer à l’encontre d’autrui sous l’emprise de l’alcool, mais également celles dont ils pourraient être victimes… La société a un rôle à jouer, mais les parents aussi doivent intervenir pour mettre en garde leurs enfants qui entrent à l’Université et ce, même s’ils sont en passe de devenir des adultes, sous-entendu capables d’assurer leur sécurité… en toute lucidité…
Rappelons que les agressions sexuelles, qu’elles aient lieu ou non sous l’emprise de l’alcool et qu’elles soient commises avec violence, sous la contrainte, la menace ou la surprise, sont punies par la loi (de 5 ans d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende).
Il y a des lieux de rencontres ou se pratique le
BINGE DRINKING
dans le 17ème arrondissement de Paris, n'en déplaise à
ceux qui prétendent le contraire
Dixit Roslyne Bachelot
On voit des jeunes acheter des palettes de bières dans les supermarchés et les boire comme ça à la file.
Elle ne parle pas des épiciers de nuit !!!
Elle connaît le sujet, il suffit de lire la Loi Bachelot pour s'en convaincre.
http://videos.doctissimo.fr/sante/sante-publique/prevenir...
02:26 Écrit par JCJ dans Sécurité routière, Sécurité rue de La Jonquière, Sécurité-Insécurité, Sécurité-Insécurité secteur ACAJA-CAPAC | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook | | Imprimer |