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30/07/2013

Réunion du groupe de travail du CSPDA

SIGLE ACAJA-CAPAC -2-.jpg

FLASH INFO : mail reçu le 30 juillet 2013

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Direction de la prévention et de la protection

Sous-direction de la tranquillité publique

                                                      Circonscription Ouest

 

 COMPTE RENDU DE REUNION

 Date  :   17 mai 2013

 

 Objet :   Réunion du groupe de travail du CSPDA Jonquière/Epinette

 

Présidence :  M. Geoffroy BOULARD

 

Lieu :   Mairie du 17ème arrondissement

 

Présents

Destinataires

 

Mairie du 17ème arrondissement

·      M. Geoffroy BOULARD, adjoint au maire chargé de la sécurité, de la prévention, à la politique de la Ville et au développement économique

·      M. Nicolas LE FLOCH, chef de cabinet adjoint

 

Commissariat du 17ème arrondissement

·      Mme Rachel COSTARD, commissaire central

 

Ville de Paris

·      M. Stéphane REIJNEN, adjoint chargé des partenariats, coordonnateur CSA (DPP

 

Locataires

·      M. Yves GIAMPIETRO

 

 

·   Les personnes présentes ou invitées à la réunion

 

 

 

  

       Bois de Boulogne

Allée Cavalière Fortunée

          75016  PARIS

 

vEtat des lieux

  Le commissariat est sollicité pour des incidents qui se produisent aux abords de la piscine ainsi que dans les halls d’immeubles. Le 76 rue de la Jonquière est clairement identifié par la police pour des occupations de soirée et de début par des jeunes qui semblent être plutôt des consommateurs que des dealers. Par ailleurs il est également constaté des squats de jeunes aux n°56, rue Berzélius ainsi que devant la boulangerie.

 

 

La mairie du 17ème précise qu’un centre d’hébergement pour un accueil jour/nuit ayant pour but la réinsertion sociale et professionnelle de personnes en difficultés est en projet au sein de ce secteur qui est déjà sensible. Elle signale un autre point sensible : le passage du petit cerf au n°8. Il est rappelé que l’arrêté relatif à l’interdiction de consommation d’alcool sur la voie publique n’est pas abrogé dans ce secteur.

 

Le GPIS ne rencontre pas de difficulté spécifique. Le site de la RIVP situé à l’angle de la rue de la Jonquière et du boulevard Bessières se dénote car il peut être constaté la présence de voiture de type BMW immatriculées dans le 92 et 93. Une suspicion de phénomènes de prostitution reste à vérifier dans le local VO du bailleur.

 vorientations retenues

 

-                Intervention du commissariat en matière de verbalisation administrative sur le périmètre du passage du petit cerf et vérifier le respect de l’arrêté relatif à l’interdiction de consommation d’alcool sur la voie publique.

-                Passages de contrôles de la DPP dans le même secteur pour faire un point de la situation concernant les commerces.

 

 L'ACAJA n'a pas été invitée !

Il faut comprendre que tout va bien rue de La Jonquière, la fumerie de cannabis à ciel ouvert, il faut faire avec.

Les dealers de produits illicites, le silence

Les incivilités, le silence !

Les agressions, le silence !

Le passage Petit Cerf, j'ai assisté sur invitation d'un Conseiller de Paris à une réunion (SURPRISE) avec 2 élus, 2 policiers, 4 riverains, je préfère me taire.

La consommation d'alcool sur la voie publique passage Petit Cerf, nous en reparlerons avec les commerçants du secteur, ce qui est certain, les buveurs ne sont pas clients des commerçants de proximité du secteur.

 

 Les prestations sexuelles dans un local Vide Ordures de la RIVP !!!

Par contre les commerçants  de proximité sont visés.

 Le sentiment d'insécurité est bien réel dans le secteur Nord Ouest du quartier des Epinettes.

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La réponse mail de l'ACAJA

Bonsoir Monsieur ------------------
Je vous remercie de m'avoir adressé le compte rendu de la réunion "fermée" CSPDA du 17 mai 2013 qui s'est tenue en Mairie du 17ème.
Je suis surpris par les conclusions !
Le sentiment d'insécurité est réel et sérieux dans notre zone associative.
Nous connaissons nous aussi à l'ACAJA, le secteur Nord Ouest du quartier des Epinettes.
La sécurité des biens et des personnes est sérieusement mise en danger chaque jour 24/24h.
Il est difficile d'admettre qu'il n'y a que quelques rares  dealers, mais que des fumeurs sur la voie publique du quartier !!!
Les nourrices n'existeraient pas ! 
Je confirme que l'ACAJA, a un grand respect pour la police nationale, gardiens de la paix, gradés, officiers et Commissaires,
qui font preuve d'un sens du devoir et d'un sang froid exceptionnel face aux dealers-fumeurs locaux et aux délinquants venus d'ailleurs.
Je suis fort surpris qu'il ne soit pas fait état dans le compte rendu, des étalages et terrasses sauvages, de la consommation de boissons alcooliques sur la voie publique, de l'insécurité routière, et des vols à l'étalage etc....
Je reconnais que les commerçants et les habitants de la zone associative ACAJA-CAPAC victimes d'un méfait n'aiment pas porter plainte.
Dernièrement, j'ai été entendu par un agent de police judiciaire, du commissariat central du 17e, dans le cadre d'une dénonciation concernant un tir de lance mortier, rue de La Jonquière.
Début septembre l'ACAJA et la CAPAC, ne manqueront pas de rendre public leurs observations sur la sécurité et l'insécurité dans notre
secteur associatif depuis 2008.
Le Contrat Local de Sécurité de mars 2009 est il toujours en vigueur ?
Cordialement
Jean-Claude Janan

23:51 Écrit par JCJ | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer | |

Le commerce de proximité une richesse pour le quartier des Epinettes à Paris 17e

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 A l'ACAJA-CAPAC nous aimons les commerçants de proximité

FLASH INFO

Source : Epareca


Réflexion sur le commerce de


proximité, vecteur de lien social

Levier de croissance, le commerce contribue fortement au dynamisme de l’économie française (notamment, en période de crise) et à la création d’emplois.

 

Parmi les commerces de détail,  le commerce de proximité remplit une fonction essentielle dans des territoires souvent en situation de repli ou marginalisés, à la fois sociale, économique et environnementale :

  • Maintien voire relance de l’emploi dans les territoires concernés
  • Garantie d’un service de proximité aux habitants, notamment pour les personnes à mobilité réduite ou pour les personnes âgées
  • Contribution à la cohésion sociale d’un territoire en créant un lieu convivial de rencontres et de brassage des populations
  • Participation à la sécurisation d’un quartier grâce à l’existence d’une animation constante
  • Réponse à des objectifs de développement durable grâce à un bilan carbone amélioré.

 

Pour les populations résidentes, le commerce de proximité est un élément fondamental de la qualité de vie et de l’ambiance du quartier.

En particulier, dans les Zones Urbaines Sensibles, les habitants déclarent à 90% que les commerces de proximité rendent un quartier vivant et à 38 % qu’il s’agit du premier facteur d’animation d’un quartier (Centre-Ville en Mouvement,  « Les commerces de proximité dans les zones urbaines sensibles », Sondage de l’institut CSA, Juin 2008).

 

Les modes de consommation évoluent et les Français sont de plus en plus attachés aux commerces de proximité. En atteste le développement de nouveaux concepts au sein des groupes de distribution alimentaire (A 2 Pas, Casino Shop et Shopping, Carrefour City, Contact ou Express…).

 

Pour autant, la proximité progresse moins vite que le commerce en général et est même confrontée dans certains territoires à un processus de déqualification ou de raréfaction (comme dans certains quartiers centraux des villes de taille moyenne ou petite ou dans les bourgs ruraux).

 

Dans les quartiers d’habitat social, les pôles de proximité ont vu leur situation se dégrader sous l’effet cumulé de plusieurs facteurs :

-       déclin du patrimoine immobilier (structures de copropriété qui obère toute remise à niveau, absence de gestion unifiée et d’animation)

-       paupérisation de certains quartiers (baisse du pouvoir d’achat, report des actes d’achat vers les moyennes surfaces alimentaires de périphérie, développement de l’insécurité)

-       montée en puissance du commerce périurbain (centres commerciaux attractifs et offre discount).

 

Dès lors, afin de préserver et de pérenniser le tissu commercial de proximité, plusieurs conditions doivent être réunies :

-       maîtriser 100% de la propriété,

-       s’insérer dans un projet urbain de qualité (choix d’un emplacement qui améliore l’accessibilité et la visibilité de l’équipement),

-       concevoir un projet sur mesure (mise en place d’une offre renouvelée, adaptée aux besoins de la population, définition d’une organisation spatiale et d’une forme architecturale en rupture avec l’existant),

-       mettre en œuvre une politique commerciale cohérente à l’échelle de la polarité (en termes de composition, de loyers, d’animation) et à l’échelle du territoire communal ou supra-communal.

 

 

L’action d’Epareca dans les quartiers Politique de la Ville

 Comment accompagner les collectivités locales dans la restructuration commerciale de leurs zones urbaines sensibles ?

L’Etablissement public national d’aménagement et de restructuration des espaces commerciaux et artisanaux (Epareca) est un opérateur public, créé en 1996 en application de la Loi du Pacte de Relance pour la Ville, pour restructurer et pérenniser les espaces commerciaux et artisanaux dégradés. Il accompagne les collectivités locales dans la reconquête de leurs zones commerciales et artisanales de proximité, au sein des quartiers en difficulté.

 

Refondé en 2007, Epareca est un outil singulier de puissance publique qui conjugue sa vocation sociale à la réalité économique du marché. Il a pour mission de se substituer aux acteurs privés défaillants afin de redonner vie à des espaces commerciaux dans les quartiers en difficulté, avec un objectif central : le retour au droit commun.

 

Avec quel modèle économique ?

Epareca répond à une exigence de réalisme économique, car la rénovation des espaces commerciaux doit permettre une exploitation commerciale raisonnablement profitable : cette exigence est la condition de l’exercice de sa vocation sociale, définie par le législateur, celle de délivrer une offre de proximité durable, diversifiée et de qualité aux habitants des quartiers en difficulté. L’offre commerciale de proximité constitue, avec les équipements publics, des facteurs essentiels du confort de vie d’usagers et d’habitants plus fragiles que d’autres. Les interventions commerciales encouragent par ailleurs le renforcement des échanges sociaux et l’expression possible de la convivialité urbaine.

 L’Etat a affirmé sa volonté de relancer cet outil public original qu’est Epareca, par le renforcement de ses moyens humains et financiers, l’évolution de son organisation et la refonte de son modèle économique. Cela constitue, pour les élus locaux, l’opportunité nouvelle de développer le volet économique, commercial et artisanal de la rénovation de leurs sites urbains sensibles.

Les élus locaux, qui stigmatisent et barbarisent les commerçants, artisans et TPE  de proximité  avec des subterfuges devront rendre des comptes.

Des TPE disparaissent et des emplois sont perdus en France selon la volonté d'une poignée d'élus.

Le commerce de proximité une richesse pour le quartier des Epinettes à Paris 17e

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A l'ACAJA-CAPAC nous aimons les commerçants de proximité 

FLASH INFO

Source :

 

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