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29/03/2009

UN AN DEJA !!!

Une année de mandature s'achève.

Il y a un an, précisément le 16 mars 2008, arrivait "aux affajonquiere 001.jpgires" la nouvelle équipe municipale avec à sa tête, Françoise de PANAFIEU.

Brigitte KUSTER fut élue Maire du 17e arrondissement de Paris.

Le groupement associatif des commerçants, artisans, professionnels ACAJA-CAPAC du quartier des Epinettes, se félicite de la volonté de tous les élus locaux du 17e arrondissement d'être à leur écoute et prêt à soutenir leurs actions.

Les membres des bureaux ACAJA-CAPAC, les adhérents et sympathisants ne formulent pas une demande de bilan pour la première année d'une mandature qui doit durer six ans.

Douze mois difficiles à vivre pour certains : la crise financière doublée d'une crise économique, touche et touchera certains d'entre-nous plus que d'autres, et ce dans tous les quartiers du 17e arrondissement.

Les objectifs du groupement associatif ACAJA-CAPAC sont nombreux, les principaux, requalification  commerciale de l'avenue de Clichy et revitalisation économique de la rue de la Jonquière et des rues Adjacentes.

Très rapidement le groupement associatif ACAJA-CAPAC fera connaître ses ATOUTS et ses DIFFICULTES aux élus locaux.

Les membres des bureaux ACAJA-CAPAC

25/02/2009

ENTRAVE A LA LIBERTE DU COMMERCE

Camion ZL 003.jpg

Les commerçants et artisans de proximité sont vraiment en première ligne pour le pire.

Sous la précédente mandature, à l'occasion des Conseils Consultatifs de Quartier, nous pouvions entendre des habitants dénonçant la présence des zones de livraison, enlèvement et transport de fonds trop nombreuses.

Le 24 février 2009, de retour d'Anvers, mon portable sonne à deux reprises, deux adhérents de l'ACAJA et de la CAPAC, remontés comme une pendule, hurlent de désespoir, tout en dénonçant :

"l'ouverture des zones de livraison au stationnement dès le 2 mars 2009"

La position du groupement ACAJA-CAPAC est la suivante.

Modifier le code de la route, classifier le procès verbal pour stationnement illicite sur une zone de livraison en 4ème catégorie.

Réglementer l'activité des voituriers tout en leur accordant des concessions pour permettre aux clients, de certains commerces, de stationner : restaurants, fleuristes, etc ... etc ....

Nous pouvons remarquer dans l'arrondissement, et au-delà, la présence de nombreux voituriers.

Qui peut croire qu'à partir de 7 heures du matin, le stationnement illicite sur les zones de livraison, va disparaître... l'interdiction de stationner étant de 20 heures à 7 heures. Les commerçants revenant de RUNGIS, entre 4 heures et 7 heures où vont-tils stationner ? en pleine voie avec des automobilistes qui klaxonneront !

Que faut-il faire ? PETITION, INTERVENTION AUPRES DU MINISTRE DES TRANSPORTS ET DU SECRETAIRE D'ETAT AU COMMERCE, MANIFESTATION DES COMMERCANTS ET ARTISANS.

Nota : Une entreprise téléphonique de la rue Fragonard réclame une zone de livraison depuis 4 ans, le résultat, la zone de livraison existante angle rue Fragonard, avenue de Clichy a été supprimée, BRAVO !

Les photos ont été prises à partir de 9 heures 10 le 25 février 2009.

Jean-Claude JANAN Président du groupement ACAJA-CAPAC : diffusion à 1257 exemplaires

CLIC pour voir toutes les photos de stationnement illicite sur les zones de livraison après 9 heures ......................

08/02/2009

Jean-Marc GEORGES-Commerçant Ambulant a cessé la grève de la faim vendredi 6 février 2009 à 18 heures-rue de Levis Paris 17e

Gève de la faim (5).JPGDe gauche à droite : Larry, commerçant méditerranéen, J.C. JANAN Capac-Acaja, GEORGES, commerçant

 

Jean Marc GEORGES, commerçant ambulant excerçant face au 54 rue de Levis Paris 17e a cessé la grève de la faim le vendredi 6 février 2009 à 18 heures, après 9 jours de grève.

Le commerce dans la Ville

Les commerçants, artisans et professionnels sont les poumons de la Ville

L'intelligence commerciale, concerne la communauté des commerçants et des clients

Quand la transparence d'une décision n'apparaît pas, il faut s'attendre à des réactions

Les commerçants, artisans, professionnels sont des repreneurs ou des créateurs d'entreprises, ils sont aussi des créateurs d'emplois et de richesses

Les commerçants sédentaires et non sédentaires sont en première ligne pour le meilleur et pour le pire

Le pire : concurrence déloyale, entraves à la liberté du commerce, le paracommercialisme, autrement dit la vente à la sauvette ou vente sous le manteau, l'insécurité et des décisions contestables pouvant nuire à la bonne exploitation de leur commerce.

Les commerçants ambulants rencontrent de très nombreuses difficultés, mais ils se doivent de respecter les lois, les décrets, les arrêtés préfectoraux et municipaux qui les concernent.

Les circulaires ministérielles doivent être appliquées avec rigueur et discernement par ceux qui ont mission de les faire respecter.

QUI CROIRE DANS L'AFFAIRE JEAN-MARC GEORGES ?

Les éléments constitutifs réels et sérieux sont connus, ils ne sont pas classés au fond des archives de l'ACAJA-CAPAC.

Conformément à la loi, la police nationale a verbalisé le 17 janvier 2009 Jean-Marc GEORGES, rien à dire sur la verbalisation.

Jean-Marc GEORGESse retrouve sur le pavé de la rue de Levis, sans pouvoir exercer son travail. Le 29 janvier 2009, il décide de faire la grève de la faim, à la grande surprise des commerçants,  riverains et chalands, qui le connaissent depuis 13 ans.

Les élus sont surpris, certains sont sans réaction, le téléphone portable se déchaîne, les membres des bureaux ACAJA-CAPAC sont prévenus.

Première réaction de l'ACAJA-CAPAC "Le pavé lancé dans la mare va faire des vagues dans l'ouest de l'arrondissement"

La presse débarque, le ton change, on oubli la formulation "vendeur à la sauvette" pour en arriver à celle de "marchand ambulant" excerçant sans autorisation du service compétent de la Mairie de Paris.

L'absence de résultat pour résoudre le délicat problème de Jean-Marc GEORGES, a déclanché la mobilisation du groupement associatif ACAJA-CAPAC pour soutenir un commerçant de proximité en difficulté.

L'objectif du groupement ACAJA-CAPAC consiste à sortir de cette délicate situation par le dialogue et la concertation avec les élus.

Le 5 février 2009, Jean-Claude JANAN constate que la santé et le moral de Jean-Marc GEORGES se dégradent, des commerçants et des riverains expriment  un sévère mécontentement à l'encontre de certains élus. 

Le groupement ACAJA-CAPAC décide de déposer son dossier à la permanence de Madame Françoise de PANAFIEU rue Pierre Demours, ce qui est fait à 11 heures 45. Dès 15 heures 40, la Députée de la 16e circonscription informe Jean-Claude JANAN qu'elle est intervenue auprès du Préfet de Police, et qu'elle se rendra à  16 heures rue de Levis pour régler la situation.

Le directeur de cabinet de Madame Lyne COHEN SOLAL, informe Jean-Claude JANAN sur les conditions devant permettre de solutionner le problème, après entretien avec Jean-Marc GEORGES, celui-ci confirme  qu'il cesse la grève de la faim, et qu'il tient à remercier Madame Françoise de PANAFIEU pour être intervenue rapidement et efficacement dans ce délicat dossier.

L'ex gréviste de la faim s'est engagé auprès de Jean-Claude JANAN à respecter les conditions définies par le Directeur de Cabinet de Madame Lyne COHEN SOLAL.