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21/10/2012

ACAJA---PRIX D'HONNEUR 2012 ---Catégorie :Musique

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 PRIX D'HONNEUR 2012

Catégorie : Musique

sera décerné au groupe

"NOMADE IN"

composé de Djillali - Kova -Yassine

Musique Berbère Sans Frontières

Le groupe «NOMADE IN » est formé de trois éléments : Djillali, Kova et Yassine; Des amis issus de la même région d'Algérie (la Kabylie) et qui vivent à Paris. Ils aiment se rencontrer après le boulot pour fredonner quelques notes de musique sans jamais prétendre, au début, se produire sur scène. Mais au fil du temps et à force de jouer, les idées viennent et s'accumulent pour enrichir leur répertoire formé de variétés algériennes et de standards maghrébin mêlés à des sons occidentaux ce qui forme une fusion de styles et des hybrides sonores cultivés dans les compositions de Djillali Djerdi auteur-compositeur et interprète du groupe.
Depuis un an les nomades ont repris leur caravane pour des escales intrépides dans de nombreux cafés-concerts parisiens et franciliens où ils diffusent leur musique sous le crédo « Musique berbère sans frontières » qu'ils répandent avec une ouverture alchimique envers les autres cultures et des textes mixtes en kabyle, arabe algérien et français, et vu le succès imprévu de leur aventure ils ne comptent pas s'arrêter là... UGADAGH: Première chanson du Groupe NOMADE IN
Voici le premier single du groupe, Ugadagh (j'ai peur) est une chanson qui parle de l'exil du périple et de l'errance, de la difficulté de se retrouver seul dans des pays lointains.
C'est l'histoire d'un jeune qui se retrouve face à son destin d'itinérant en quête de liberté croyant qu'il va la retrouver dans ses voyages. confronté à vivre seul et instable il butine d'un pays à un autre, d'une ville à une autre sans avoir le temps ni de s'installer ni de s'adapter. Malgré toutes les difficultés, l'idée de retourner chez les siens lui est de plus en plus insupportable. Il veut continuer même si son chemin lui semble de plus en plus incertain. Il veut suivre son instinct voyageur sans se soucier des maléfices de son rêves inaccessible. Pourra t-il survenir à maîtriser son destin?

 UGADAGH

  

 J'ai peur

sous-titré en français

 

 Le prix sera décerné dans un café-restaurant bien connu passage Petit Cerf - Paris 17e

Le mieux vivre ensemble

quartier des Epinettes

c'est possible

 -

 

Le choc des civilisations ...

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Pour le bien vivre ensemble

Un bon rappel !!!

Une théorie critiquée

néanmoins

 la stratégie de communication de l'ACAJA tient compte de la théorie de l'affrontement des civilisations.

Les commerçants de proximité du quartier des Epinettes d'ou viennent ils ?

...

Le BINGE DRINKING dans le 17ème ?

 

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Le binge drinking expose les jeunes femmes aux agressions sexuelles

 Une étude confirme que le binge drinking est une pratique courante des jeunes dès l’entrée à l’Université. Pis, les jeunes femmes testent aussi l’hyperalcoolisation avec pour résultat un risque élevé d’agressions sexuelles.

Le binge drinking, ou biture express, consiste à consommer une forte dose d’alcool en une seule occasion afin d’atteindre rapidement un état d’alcoolisation élevé, mais également très dangereux.
En effet, une alcoolisation massive peut entraîner un coma éthylique parfois mortel, sinon des troubles digestifs, cardiovasculaires et surtout cognitifs, avec perte de mémoire, tentatives de suicide, augmentation du risque de consommations de drogues (cannabis, cocaïne…). Le binge drinking s’accompagne également de troubles du comportement, dont des conduites sexuelles à risque (rapports sexuels non protégés d’où risque de maladies sexuellement transmissibles et de grossesse non désirée) et une conduite en état d’ivresse. Ainsi, en Europe, 10% des accidents mortels chez les jeunes filles et 25% chez les jeunes garçons sont liés à l'intoxication à l'alcool.

Selon cette nouvelle étude menée auprès de 437 jeunes femmes entrant en première année à l’Université, la moitié d’entre elles ont pratiqué au moins une fois le binge drinking durant leur premier semestre universitaire. Et 25 à 60% d’entre elles ont été victimes d’agression sexuelle. Parmi les jeunes filles qui ont déclaré avoir bu en une seule fois 4 à 6 verres, une sur quatre a été victime d’abus sexuel, allant de contacts sexuels au viol. Le risque augmente avec la quantité d’alcool consommé. Ainsi, à partir de 10 verres, 59% des jeunes femmes déclarent avoir été victimes d’une agression sexuelle.
On retiendra que la prévention du binge drinking chez les jeunes est un impératif. Mais parallèlement, il convient de les mettre en garde contre les violences sexuelles. Celles qu’ils pourraient proférer à l’encontre d’autrui sous l’emprise de l’alcool, mais également celles dont ils pourraient être victimes… La société a un rôle à jouer, mais les parents aussi doivent intervenir pour mettre en garde leurs enfants qui entrent à l’Université et ce, même s’ils sont en passe de devenir des adultes, sous-entendu capables d’assurer leur sécurité… en toute lucidité…

Rappelons que les agressions sexuelles, qu’elles aient lieu ou non sous l’emprise de l’alcool et qu’elles soient commises avec violence, sous la contrainte, la menace ou la surprise, sont punies par la loi (de 5 ans d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende).

Il y a des lieux de rencontres ou se pratique le

BINGE DRINKING 

dans le 17ème arrondissement de Paris, n'en déplaise à

ceux qui prétendent le contraire 

Dixit Roslyne Bachelot

On voit des jeunes acheter des palettes de bières dans les supermarchés et les boire comme ça à la file.

Elle ne parle pas des épiciers de nuit !!!

Elle connaît le sujet, il suffit de lire la Loi Bachelot pour s'en convaincre.

http://videos.doctissimo.fr/sante/sante-publique/prevenir...

 

Le "binge drinking" correspond à des consommations excessives ponctuelles d’alcool. Ces comportements exposent les jeunes à de nouveaux dangers. Un problème dont la Ministre de la santé, Roselyne Bachelot, entend bien s’occuper. Découvrez son interview exclusive.

En France, une étude nationale montre que parmi les jeunes de 17 ans, près d’un sur deux a bu au moins 5 verres d’alcool en une seule occasion durant le mois précédent. Ces "mauvaises habitudes" interviennent surtout le week-end ou lors de fêtes. Ces données traduisent un changement de comportement des jeunes vis-à-vis de l’alcool.

Roselyne Bachelot : L’alcoolisme a beaucoup changé. On est passé d'un alcoolisme de convivialité à un alcoolisme beaucoup plus violent, et qui a pour but de s'enivrer extrêmement brutalement. C'est ce qu'on appelle en termes anglais, le "Binge drinking".

On a longtemps cru que cette recherche rapide d’ivresse resterait cantonné aux pays anglo-saxons et nordiques. Mais aujourd’hui, le phénomène est bien présent en France.

Roselyne Bachelot : Et c'est vrai que les campagnes d'alcoolisme, les campagnes contre l'alcoolisme ont généralement été orientées vers ces campagnes de convivialité. " Tu t'es vu quand tu as bu " ou montrant des gens dans une situation amicale. Ce n'est plus ça l'alcoolisme des jeunes. Le but ce n'est pas de boire avec des copains, c’est vraiment d'avoir un flash alcoolique, très rapide, très violent.

Perte de contrôle, violences physiques et sexuelles, accidents…les dangers de ces excès sont multiples. Outre-Manche, des campagnes chocs ont été lancées fin 2006 appelant les jeunes à "  connaître leurs limites ". Se prendre pour un super-héros sous l’emprise de l’alcool peut avoir des conséquences fatales.
En France, de nouvelles campagnes sont actuellement à l’étude.

Roselyne Bachelot : On voit des jeunes acheter des palettes de bières dans les supermarchés et les boire comme ça à la file. Et il faut donc réfléchir à ces nouveaux modes d'alcoolisme et c’est ce que nous sommes en train de faire au ministère de la santé et avec notre bras armé qui est l'institut national d'éducation à la santé, l’INPES, de prévention et d'éducation à la santé, pour justement adapter des messages qui ne le sont plus pour les nouveaux modes d'alcoolisation des jeunes.

En plus des dangers immédiats, le binge drinking est également accusé de sensibiliser sur le long terme le cerveau aux effets de l’alcool. Un phénomène qui favoriserait la dépendance et les dangers sur le système nerveux cardiovasculaire et digestif.

Propos recueillis par David Bême et Valérie Brouchoud, le 30 octobre 2007