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24/02/2013

Les nuits parisiennes !!!

 

Source : Le Point__

Paris, "capitale européenne du sommeil" ? Deux ans après les "états généraux" organisés par la Ville pour répondre à leur cri d'alarme, les professionnels de la nuit parisiens dressent un bilan en demi-teinte des mesures mises en place.

Le maire de Paris Bertrand Delanoë reviendra sur le sujet dans le cadre de ses comptes-rendus de mandat, mardi à la mairie du IVe arrondissement.

Lancée en octobre 2009, la pétition "Quand la nuit meurt en silence" avait fait grand bruit. Signée par plus de 16.000 personnes ou organismes dont les principaux syndicats de la professions, elle s'alarmait que la "loi du silence généralisée" transforme la Ville lumière en belle endormie.

Les Etats généraux organisés en novembre 2010 avaient esquissé des pistes de réponse pour tenter d'apaiser les relations entre les établissements de nuit et les riverains, particulièrement tendues depuis l'entrée en vigueur de l'interdiction de fumer dans les bars, début 2008.

La plus visible d'entre elles, la mise en place des "Pierrots de la nuit", des équipes de clowns qui tournent dans les quartiers festifs pour inciter les noceurs à la discrétion, ne fait pas l'unanimité.

Eric Labbé, l'un des auteurs de la pétition de 2009, juge la mesure "infantilisante", et son efficacité reste à démontrer aux yeux des riverains, de l'aveu même de Stéphane Martinet, élu chargé du dossier à la mairie du XIe arrondissement.

La Ville de Paris a aussi mis en place dans six arrondissements des comités de médiation réunissant mairie, police, riverains et professionnels, qui s'efforcent de dénouer les situations les plus conflictuelles.

Si Eric Labbé regrette le caractère erratique de cette médiation, "pas forcément régulière et coordonnée", d'autres, comme Florent Ciccoli, membre fondateur de Culture Bar-Bars en Ile-de-France, saluent "une vraie volonté de la mairie de faire avancer les choses, avec ses armes".

"Le problème, c'est que c'est la préfecture de police qui reste le vrai décideur", ajoute-t-il.

Plus qu'une médiation, les professionnels souhaiteraient la mise en place d'une procédure de conciliation préalable au couperet de la fermeture administrative ou du retrait de l'autorisation de nuit.

"Les fermetures administratives sont des procédures non contradictoires", regrette Bruno Blanckaert, patron du Rex et président de la chambre syndicale des cabarets artistiques et discothèques (CSCAD). Cette fragilité des établissements face au "fait du prince" est l'une des raisons qui dissuadent certains "gros opérateurs de la nuit" européens de s'implanter à Paris, selon M. Blanckaert.

D'autres mesures sont avancées, comme la création d'une sanction contre les riverains mauvais coucheurs qui abusent des signalements pour tapage, innovation suggérée par la députée socialisteSandrine Mazetier dans une proposition de loi de 2011.

Restent les contraintes propres au tissu urbanistique parisien: "les rues sont petites, les murs sont fins, les voisins sont proches", observe Rod Reynolds, fondateur du collectif Dcontract, qui organise des fêtes dans des lieux insolites de la capitale.

Consciente de cette difficulté, la mairie soutient l'implantation d'établissements dans les zones les moins densément peuplées, le long des quais de Seine -où a récemment ouvert le Wanderlust- ou "dans les gares de petite ceinture", explique Mao Péninou, maire adjoint de M. Delanoë chargé du bureau des temps.

D'autres, comme Rod Reynolds ou Bruno Blanckaert, se prennent à rêver que le Grand Paris soit aussi celui de la fête, et que les noceurs partent à la conquête des friches de proche banlieue.

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08:29 Écrit par JCJ | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer | |

23/02/2013

Distributeur Automatique de Billets ---Rue de La Jonquière --- Paris 17e

 

ACAJA-CAPAC.jpg

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Revenons sur le dossier

DAB

Distributeur Automatique de Billets

Rue de La Jonquière 

Depuis des années l'ACAJA s'adresse aux élus et à quelques banquiers pour obtenir un DAB, la réponse qui nous est faite par les élus : oui on va s'en occuper

 par les banquiers : on va étudier la faisabilité d'installer un DAB

...

L'absence d'un DAB rue de La Jonquière devient inadmissible pour les habitants et les commerçants de proximité.

Pour mémoire

Voici quelques années l'ACAJA demande au directeur de la banque CHAABI du MAROC si il était possible d'avoir un DAB à l'agence du bas de l'avenue de Clichy.

6 mois

après notre demande un DAB était installé à la grande satisfaction des habitants, commerçants et touristes

du bas de l'avenue de Clichy

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Un rue commerçante sans DAB

est condamnée au déclin économique

Nous aimons notre rue de La Jonquière

et nous militerons pour obtenir un DAB

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on ne lâchera pas3.png

 

 

 

22/02/2013

Commerçants solidaires --- secteur associatif ACAJA-CAPAC

ACAJA-CAPAC.jpg

 

Les commerçants solidaires

Mairie de Paris

 

[29/06/2011]

Acteurs centraux de la vie de quartier, les commerçants de proximité jouent un rôle irremplaçable de relais auprès des habitants, notamment auprès des personnes les plus isolées.

Lancé en 2009 par la Mairie de Paris, la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris (CCIP) et la Chambre de métiers et de l’artisanat, le réseau des commerçants solidaires de Paris s’appuie sur la vocation de proximité des commerçants pour sensibiliser les Parisiens à de grandes causes de solidarité et d’intérêt général.

Vecteurs de lien social, les commerçants tiennent depuis toujours une place importante dans la vie des quartiers. C’est donc tout naturellement que les fédérations de commerçants parisiens ont manifesté leur soutien au projet « Commerçants Solidaires ». Les boulanger-pâtissiers, fleuristes, bouchers, buralistes, hôteliers, restaurateurs, cafetiers et crémiers-fromagers…, tous « Commerçants Solidaires », sont prêts à se mobiliser toute l’année, à chaque situation nécessitant leur concours, en diffusant des informations utiles et en orientant leurs clients quand cela est nécessaire.

Depuis 2009, 5 campagnes des Commerçants solidaires de Paris ont déjà été organisées autour du plan prévention canicule chaque été mais aussi d’autres enjeux de solidarité : le handicap, la prévention du cancer du sein, la promotion du bénévolat à l’occasion de l’Année européenne du bénévolat et du volontariat.

Aujourd’hui, 350 commerçants de la capitale sont engagés dans ce mouvement de solidarité, grâce au soutien des fédérations de commerçants qui ont sensibilisé leurs adhérents.