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14/04/2012

Les épiciers de nuit ...secteur La Jonquière...Epinettes Sud...Paris 17e

 

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   du quartier des Epinettes Sud à Paris 17e

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Contrôle d'identité et discriminations

 

Au cœur de notre mission se trouve la déontologie de la sécurité essentielle pour notre démocratie.

Dominique Baudis

Chaque citoyen, lorsqu’il a affaire à la police, à la gendarmerie ou au personnel d’entreprises privées de sécurité doit être assuré que ses droits pleins et entiers sont respectés.

Notre institution a engagé une réflexion autour des contrôles d’identité. Mon adjointe en charge de la déontologie de la sécurité, Françoise Mothes s’est rendue en Espagne, il y a un mois, pour étudier une expérimentation qui s’y déroule.

Cette expérience a pour objectif de poser un cadre strict aux règles portant sur les contrôles d’identité afin d’éviter tout acte de discrimination en la matière : elle propose par exemple que sur les uniformes des agents de sécurité soit apposé un numéro de matricule et que chaque contrôle fasse l’objet d’un procès-verbal systématique. Elle se rendra en Grande-Bretagne dans les prochains jours qui a une pratique analogue.

Dans les mois à venir, nous allons poursuivre au sein de notre institution  notre réflexion, confronter les expériences et surtout proposer des pistes de réformes.

Dominique BAUDIS
Défenseur des droits

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http://www.defenseurdesdroits.fr/

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http://emploi.france5.fr/emploi/droit-travail/discriminat...

Comment saisir le Défenseur des droits ?

  Vous pensez être victime de discriminations dans votre vie professionnelle ? Le Défenseur des droits peut examiner votre situation.  
 

Depuis le 1er mai 2011, Le Défenseur des droits a succédé à la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde). Il reprend également les prérogatives du Médiateur de la République, du Défenseur des enfants, et de la Commission nationale de déontologie de la sécurité (CNDS).

Dominique Baudis, ex-maire de Toulouse, ex-président du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA), ex-député européen UMP, est à la tête de cette institution.

Maryvonne Lyazid, vice-présidente de la Halde, occupe la fonction de vice-présidente du "collège chargé de la lutte contre les discriminations et de la promotion de l'égalité".

Qui peut saisir le Défenseur des droits ?

Toute personne s'estimant victime d'une discrimination, directe ou indirecte, prohibée par la loi ou un engagement international, dont l'auteur présumé de cette discrimination est une personne privée ou publique.

La saisine du Défenseur des droits est gratuite et directe. Elle n'interrompt ni ne suspend les délais de prescription des actions en matière civile, administrative ou pénale, ni ceux des recours administratifs et contentieux.
"Le Défenseur des droits reçoit 100 000 demandes chaque année dont 1200 sur les discriminations ", a indiqué Dominique Baudis, lors d'une conférence de presse.

Quelles démarches entreprendre ?

Le Défenseur des droits peut être contacté par téléphone au 09 69 39 00 00 (coût d'une communication locale à partir d'un poste fixe). Ce service téléphonique est accessible du lundi au vendredi de 8h à 20h. Vous obtiendrez des renseignements sur l'institution mais aussi sur l'orientation et les démarches à effectuer.

Par courrier
Vous pouvez adresser au Défenseur des droits en envoyant votre demande à l’adresse suivante :
Le Défenseur des droits
7 rue Saint-Florentin
75409 Paris Cedex 08

Vous devez joindre à votre courrier les photocopies des pièces relatives à votre saisine.

Sur Internet
Vous pouvez aussi saisir le Défenseur des droits en ligne en remplissant un formulaire en ligne.

Par les délégués territoriaux
Les délégués territoriaux du Défenseur des droits peuvent être contactés directement. Ils  assurent des permanences dans divers points d'accueil : préfectures, sous-préfectures, Maison de la justice et du droit.
Les délégués vérifient si votre réclamation relève de la compétence du Défenseur des droits et si elle est recevable. Selon les cas, une réponse est apportée au niveau local ou national, en collaboration avec les équipes du Défenseur des droits. Pour connaître leurs coordonnées cliquez ici.

Rédigé par La rédaction
Publié le 18/04/2012

 

02/04/2012

Conseil de quartier Paris 2e

 

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Quartier des Epinettes - Paris 17e

 

Flash Info

.Lu sur Facebook

 

 
Conseil de quartier Vivienne-Gaillon Paris 2ème sur les nuisances subies par les riverains, aux abords des bars et établissements de nuit.
...
Il vaut mieux être épicier de nuit dans le 2ème arrondissement de Paris pour éviter la mise en cause etc ...
Dossier des épiciers de nuit de l'ACAJA
http://acaja.hautetfort.com/archives/category/epicier-com...
 

25/02/2012

Epiciers de nuit ...

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Commerçants de proximité

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La loi Bachelot vous oblige à suivre un stage avant juillet 2012 pour vendre des boissons alcooliques de 22 h à 8h

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Vous pouvez faire financer votre formation

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Commerçants, membres de professions libérales et travailleurs indépendants

 

    

 Présentation générale

Les commerçants, les membres de professions libérales et les travailleurs indépendants, bénéficient du droit à la formation. Ces formation ont pour objectif de maintenir ou perfectionner leur niveau de connaissance, de les préparer à l’installation dans la profession et leur promotion.

Ces formations sont accessibles dans le cadre de leur participation au financement de leur formation et peuvent être organisées par les professions (ex. : les professions libérales) ou par le législateur (ex. : les commerçants). Par ailleurs, elles peuvent être rémunérées sur fonds publics sous certaines conditions.

 Contribution obligatoire

Les travailleurs indépendants, les membres des professions libérales et les commerçants, y compris ceux n’employant aucun salarié, ainsi que leur conjoint collaborateur ou leur conjoint associé, bénéficient personnellement du droit à la formation professionnelle continue. A cette fin, ils doivent consacrer chaque année à la formation une contribution qui ne peut être inférieure à 0,15% du montant annuel du plafond de la Sécurité sociale ou à 0,24% du même montant lorsque le travailleur indépendant, le membre des professions libérales ou le commerçant bénéficie du concours de son conjoint collaborateur ou de son conjoint associé.

 Recouvrement et Mutualisation de la contribution

Le recouvrement de la contribution des travailleurs indépendants, des membres des professions libérales et des commerçants est exclusivement assuré par l’Urssaf au plus tard le 15 février de l’année qui suit celle au titre de laquelle la contribution est due. Les sommes encaissées par l’Urssaf sont centralisées par l’Acoss qui les verse ensuite aux FAF de non-salariés. Ces derniers sont au nombre de trois :

  • l’Association de gestion du financement de la formation des chefs d’entreprise (Agefice) ;
  • le Fond interprofessionnel des professions libérales (FIF-PL) ;
  • le FAF de la profession médicale (FAF-PM).

La répartition est établie en fonction de la population des cotisants relevant du champ d’intervention de chaque fond. Pour exercer leur droit à la formation, les travailleurs indépendants et les membres des professions libérales et non salariées doivent s’adresser à l’organisme collecteur de leur contribution. Ce dernier fixe les priorités, les critères et les conditions de prise en charge des demandes présentées par les non-salariés. Il peut s’agir notamment de la prise en charge des frais de fonctionnement des stages, des frais de transport et d’hébergement.

 Rémunération par l’État ou les Régions

Si la formation suivie est "agréée par l’Etat ou une Région au titre de la rémunération des stagiaires", les non salariés ayant exercé une activité salariée ou non salariée pendant au moins 12 mois, dont 6 consécutif dans les trois années qui précèdent leur entrée en stage, perçoivent une rémunération égale à 708,59 Euros par mois