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28/03/2013

Les véhicules de la fourrière à Paris17e

 

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Carton rouge 

Tout est possible

avenue de Clichy à Paris 17e

.

Les véhicules de la fourrière

stationnent illicitement dans le couloir de bus

.

Les chauffeurs se restaurent dans un restaurant voisin

.

Les machinistes des bus RATP

bataillent pour doubler le

convoi à l'arrêt des camions de la fourrière

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 La photo a été prise après le départ du véhicule de la police.

21/12/2012

CHEVALET RESTAURANT

LES CHEVALETS SONT INTERDITS SUR LES TROTTOIRS

EN DEHORS DE LA ZONE

TERRASSE

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???

des chevalets dans la rue

qui donne l'autorisation ?

 

 

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A l'Ouest du 17ème arrondissement de Paris C chaud

Source : Les InRocKs

Bavure policière : “Si Hollande n’était pas passé, on t’aurait massacré”

17/12/2012 | 12h37
Mounir, le lendemain de son agression
Mounir, le lendemain de son agression

Lundi 10 décembre, 1h du matin. Un banal contrôle policier dérape non loin de l’Arc de Triomphe, Mounir* se retrouve inconscient sur un trottoir. Une enquête de la police des polices a été ouverte.

Ils revenaient d’un petit tour en haut de la grande roue de la Concorde. Dans la voiture : Mounir*, sa copine et un autre couple. Après avoir remonté les Champs Elysées, vers 1h du matin, ils font l’objet d’un contrôle policier qui tourne mal. Une dizaine de minutes plus tard, Mounir est retrouvé inconscient par les pompiers sur le trottoir, des contusions sur le corps et les yeux brûlés à la bombe lacrymogène. Le jour même, lundi 10 décembre, l’Inspection générale des services (IGS) – la “police des polices”, a ouvert une enquête.

“Ils nous parlaient comme à des chiens”

Nuit du dimanche 9 au lundi 10 décembre, peu avant une heure du matin. La 307 de la petite amie de Mounir contourne l’arc de Triomphe, puis descend l’avenue de la Grande armée. Derrière eux, une voiture de police allume son gyrophare. Ils s’arrêtent. Le pote de Mounir qui conduit semble faire l’objet d’une annulation de permis. Les policiers l’emmènent au commissariat du XVIIe arrondissement pour des vérifications. Les trois autres restent sur place. Une seconde patrouille débarque en citroën Berlingo.

D’après le récit de Mounir, un grand policier sorti du véhicule l’aurait alors bousculé. Le ton serait rapidement monté, “ils nous parlaient comme à des chiens“, explique-t-il, le visage encore tuméfié.

L’agent lui lance : “Tu as de la chance, si Hollande n’était pas passé, on t’aurait massacré“. Mounir demande un peu de respect, précise qu’il a un travail de gérant de magasin. Ses deux amies tentent en vain de s’interposer. L’agent s’approche, gaze Mounir dans les yeux avec sa bombe lacrymogène. Une fois à terre, Mounir aurait reçu un coup à la tête et dans les côtes. La seconde brigade décampe.

A lire aussi : “La violence policière n’a rien d’accidentel”

Appelés par les filles, les pompiers arrivent et réaniment Mounir. En entendant la mésaventure, les soldats du feu appellent une troisième brigade de policiers. Ces derniers ne semblent pas étonnés et rassurent Mounir : “Ne vous inquiétez pas, ils ont été filmés“. Les pompiers le conseillent également: “Rappelez-vous, c‘est au minimum non assistance à personne en danger de vous avoir laissé là“. Les fonctionnaires de police donnent à Mounir le contact d’un commandant de l’IGS. Une plainte sera déposée le jour même.

Enquête en cours

Les quatre certificats médicaux réalisés montrent que Mounir n’avait ni bu ni consommé de stupéfiants. Selon les hôpitaux, de quatre à dix jours d’ITT (Incapacité totale de travail) lui ont été donnés. Contacté, le commissaire responsable du XVIIe arrondissement précise : “même si potentiellement, il peut s’agir de mes équipes, je ne suis pas habilité à vous parler“.

Côté communication, la préfecture de police de Paris refuse de s’exprimer sur une enquête en cours. Même sirène du côté de la brigade de pompiers du centre de secours de Champerret intervenus sur place.

Geoffrey Le Guilcher

*Le prénom a été modifié

Geoffrey Le Guilcher
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