10/02/2021
PARIS S'ENGAGE---SOURCE MAIRIE DE PARIS
Paris s'engage pour la relance de l'activité économique
Les mesures économiques pour relancer l'activité des entreprises
Créer une foncière pour soutenir les commerces de proximité et les hôtels indépendants
Lancer un fonds de soutien en direction du secteur du tourisme
Accompagner les entreprises dans la relance
Créer un observatoire de l’activité et de l’emploi parisien
Privilégier les PME/TPE ou des acteurs de l’ESS dans les commandes publiques de la Ville
Relancer un nouveau programme d’investissement de 1,4 milliards d’euros
Des mesures à destination des Parisiens les plus fragiles
Alléger le budget alimentation
Maintenir les familles modestes et les jeunes dans leur logement
Economiser 120 euros par an et par foyer sur la facture d’énergie
Offrir un accès internet à 2 euros
10:26 Écrit par JCJ dans ACAJA FLASH INFO | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
PHOBIE SCOLAIRE--- QUI en PARLE ???
COVID-19: des jeunes en détresse et des parents à bout de ressources
En tant que tiers de confiance depuis le 23 juin 2015 suite à une décision de justice d'une juge des enfants du TGI de Paris, avec mon épouse nous découvrons en raison de la COVID-19 et du confinement de mars 2020 la phobie scolaire de notre petite fille.
Je constate:
- Grand silence des chaines d'information en continu, des élus à l'exception pour nous de Grégory Labille Député de la Somme et de Aline Bessis Maire adjointe en charge du handicap et de la petite enfance à Paris 17ème.
- L'excellent soutien de la Directrice du collège privé sous contrat: Notre Dame à Ham 80400, des Sapeurs Pompiers de Ham, des Gendarmes de Préronne et Ham, des soignants de l'Hôpital de Saint Quentin, du pédopsychiatre CMT Péronne et des assistantes sociales en charge du dossier de Léa.
- Concernant l'ASE 6/14 Paris et une association bien connue, je préfère me taire.
- Actuellement de nombreux jeunes ont des symptômes reliés à de l'anxiété sévère ou à une dépression majeure, et un bon nombre de parents ne savent plus où cogner pour avoir de l'aide.
- Nous avons des moments de colère ou de tristesse, nous sommes démotivés, et là avec le bulletin, on constate une chute dans les notes scolaires.
On est loin d'être les seuls.
- Une récente étude réalisée par un ami, près d'un jeune de 12 à 22 ans sur deux (48%) rapporte actuellement des symptômes compatibles avec un trouble d'anxiété généralisée ou une dépression majeure.
- Trois fois plus de jeunes du secondaire rapportent une santé mentale passable ou mauvaise, comparativement à ce qui a été observé en janvier 2021 (30% contre 11%).
Hausses des demandes de service.
- Les experts sont unanimes, il y a un rehaussement des demandes de services, et ça pourrait prendre jusqu'à cinq ans avant que la situation ne soit rétablie.
- "Dans le secteur privé, c'est du jamais vu, je dois refuser environ une dizaine de clients par semaine, m'a signalé une amie psychologue à Paris".
- Les parents se sentent à bout de ressources et limités dans les outils qu'ils peuvent donner à leurs enfants.
Revoir la stratégie.
- Des psychologues considèrent qu'il faut revoir les stratégies pour améliorer l'offre de services envers les jeunes, mais aussi pour les adultes.
- "La seule façon d'avoir une intervention de masse et d'avoir une intervention qui est très efficace, c'est de mettre des cours d'éducation en santé mentale dans les écoles. En fait, ce n'est pas normal qu'on n'aborde pas la santé mentale dans les écoles" dixit un ami médecin.
Le comble pour nous.
Suppression pour Léa de l'aide pour une handicapée de 130,12 € par mois, merci à MDPH Amiens
Suppression pour nous de l'allocation d'entretien de 481,70€ par mois, merci aux Conseillers de Paris.
JCJ
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09:49 Écrit par JCJ dans ACAJA FLASH INFO | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
06/02/2021
La sécurité secteur associatif ACAJA ---
La sécurité est large et difficile
Rue de La Jonquière, rues adjacentes
et bas de l'avenue de Clichy Paris 17ème
La problématique de la sécurité est large et difficile.
Elle s'exprime souvent de manière polémique et excessive, à la mesure de ce qu'elle touche en nous, c'est-à-dire au respect du droit à la sécurité et au respect de l'intégrité physique et du patrimoine de chacun.
Le droit à la sécurité doit également prendre en compte le commerce de détail, car il est indispensable que celui-ci puisse continuer à jouer ses rôles économique, social et urbanistique...et particulièrement dans les quartiers les plus défavorisés.
La sécurité des commerces urbains se doit d'être prise concrètement et sérieusement en compte par les pouvoirs publics nationaux, régionaux et locaux.
Son exposition spécifique doit lui faire bénéficier d'un traitement spécifique.
Les agressions verbales, mais plus grave encore, physiques conduisent de plus en plus à des réactions individualistes, dangereuses et inappropriées d'auto défense.
D'autres solutions, visibles, concrètes et efficaces sont à mettre en place par les pouvoirs publics. Le besoin de solidarité prend ici tout son sens et la question de travailler en réseaux de commerçants est posée.
L'insécurité peut prendre plusieurs visages et concerner bien des problématiques différentes: insécurité des transactions, des transports, des commerçants mêmes et de leurs liens,...
Insécurité individuelle ou de quartiers. Certains types de commerces sont particulièrement exposés: libraires, pharmaciens, boulangers, restaurateurs, épiciers de nuit,...
Reste aussi l'insécurité générée par un environnement insatisfaisant. Ainsi, tags, propreté des lieux avoisinant les enseignes commerciales, accès et voiries en mauvais états, espaces voirie occupés illicitement,...sont autant de sujets de réflexion, car ils induisent immanquablement des actes et réactions d'insécurité.
Le sujet est vaste.
Les revendications des commerçants et de l'association ACAJA sont nombreuses...mais les idées aussi. L'objectif de l'ACAJA est de faire le point sur le sujet, de formuler des idées, de dessiner des pistes de solutions.
Les commerçants du territoire associatif de l'ACAJA insistent pour que les commerces restent en tout cas, des lieux ouverts, conviviaux et sécurisés.
JC.J
Ou en sommes nous depuis des années ?
09:02 Écrit par JCJ dans ACAJA FLASH INFO, CCI PARIS, CCQ Epinettes-Bessières, CCQ La Fourche-Guy Môquet, Sécurité des biens et des personnes | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |