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27/09/2013

La libération de la Corse en 1943

-Source :Blog Edmond Simeoni 

 

«La Résistance en #Corse : Fred Scamaroni, Jean Nicoli, celui qui croyait au ciel, celui qui n’y croyait pas»

«La Résistance en #Corse : Fred Scamaroni, Jean Nicoli, celui qui croyait au ciel, celui qui n’y croyait pas»

 
 

Le sujet est inépuisable, passionnant, révélateur dans le contexte des années 40 –où sévit la barbarie nazie et fasciste-, du courage, du devoir d’hommes et de femmes motivés qui se dressent contre l’inacceptable. Au péril des représailles, de leur liberté, de leur vie. 
Jackie Poggioli a choisi de nous faire pénétrer, au cœur de la tourmente, par la réalisation d’un film «Fred Scamaroni, Jean Nicoli, celui qui croyait au ciel, celui qui n’y croyait pas». L’étude préalable a été particulièrement sérieuse et documentée, grâce à des entretiens avec des acteurs éminents et par la consultation critique d’une multitude de sources officielles, tant en Corse, qu’en France, en Italie et aussi au travers des archives de la « France libre » du général De Gaulle, épique et visionnaire puis, du Maréchal Pétain, en plein naufrage.
Le parcours de ces deux héros est parallèle et, pourtant, il converge vers le même objectif : abattre le totalitarisme. Tout les distingue. Fred Scamaroni est d’une famille corse aisée, croyante et suit le chemin du service de l’Etat : d’abord officier puis Préfet. Il en connait les arcanes mais dès le début, il rejoint De Gaulle à Londres. Puis, il travaillera beaucoup en Corse, dans la clandestinité.
Jean Nicoli, issu lui aussi de l’Alta Rocca est un rural, un instituteur, socialiste au début ; il enseigne alors en Afrique où il prend nettement position contre le colonialisme français. Revenu en Corse, il adhère au Parti Communiste qui exprime ses convictions sociales, s’engage dans la Résistance dont il gravit tous les échelons. Avec tous ses camarades de combat et un courage remarquable.

L’un et l’autre devaient malheureusement finir dans les griffes de l’Ovra, la sinistre police fasciste. Dès lors, ils affronteront leurs tragiques destins, à la fin de 1943 : Fred Scamaroni se suicidera pour ne pas parler sous la torture tandis que Jean Nicoli sera fusillé puis décapité ; il lèguera à sa famille, à ses enfants, à la Corse une phrase célèbre : « Je sais que vous pouvez être fiers ; la tête de Maure et la fleur rouge, c’est le seul deuil que je vous demande. je meurs pour la Corse et pour mon parti », affirmant ici sa double conviction identitaire et communiste qu’il est moralement interdit de travestir ou d’instrumentaliser.
 
Il est inévitable que pendant cette période troublée, dans un contexte mondial d’affrontement entre les puissances de l’Axe et les Pays défenseurs de la liberté, apparaissent les compromissions, les traitres, les héros, sur un fond de compétition politique sévère entre le Parti Communiste Français et le Gaullisme, qui préparaient l’un et l’autre, la défaite du nazisme, la Libération de la France et leur avenir respectif.
 
Des membres de la famille de Fred Scamaroni, des historiens comme Françis Pomponi, des militants politiques comme Paul Antoine Luciani, Adjoint au maire, et d’autres encore, ont participé à un débat riche, instructif et surtout, digne et respectueux. Il a abordé les problèmes essentiels, écartant toute éventuelle polémique ou  mise en cause agressive. Il faut remercier vivement Jackie Poggioli pour la qualité de son travail et tirer les leçons.
Nul n’est jamais contraint d’accepter ou de s’accommoder de l’inacceptable, sans être nécessairement un héros. Le peuple a aujourd’hui les moyens – la démocratie, le suffrage universel, la communication, une conscience et une opinion publique internationales- de faire entendre sa voix, d’influer sur les choix déterminants, de rejeter ceux qu’il estime ruineux ou inappropriés ; sans violence, par les forces conjuguées de l’information, de la mobilisation. Là est la condition de la dignité collective du peuple, du progrès économique et social, de la liberté, -hors de prix-, par la paix et dans la paix.

Un film de Jackie Poggioli

Blog Edmond Simeoni

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23/09/2013

Flash Info ACAJA

  Chères amies et Cher amis de l'ACAJA

  Il vous faut savoir que le blog de l'ACAJA est régulièrement attaqué et piraté, ainsi que l'adresse mail de l'association.

 J'ai du prendre les dispositions nécessaires pour protéger nos outils de communication avec un pare-feu très efficace.

 Dernièrement j'ai subi une violente attaque personnelle par un groupe d'individus via Facebook, qui se cache derrière un pseudo ( ils sont tellement courageux et hypocrites).

 Depuis quelques jours un efficace pare-feu a été mis en place pour réagir face à des adversaires de notre association.

Notre liberté de langage dérange ainsi que notre présence à des réunions politiques, associatives et autres.

Hier samedi, en fin de journée, une nouvelle attaque violente a éte lancée contre  acaja.17@orange.fr, elle visait mon adresse Facebook. 

 Le systhème de protection à mis en échec les pirates, avec la récupération de l'adresse IP, le type de procédure employé et les matériels utilisés.

 La traçabilité des différentes attaques sont archivées, le jour viendra ou elle sera dévoilée.

 Je me réserve le droit de mettre sur le blog vitrine de l'ACAJA, les écrits d'un facebookien représentant un clubbing et les commentaires qui visent ma personne physique et morale.

  

 Vous pouvez compter sur moi pour défendre les intérêts de l'ACAJA et des commerçants de proximité acajistes.

  

 Bien cordialement.

 Jean-Claude

  Ce courriel est aussi adressé à des élus et à des amis de mes réseaux.

  

 

PORTRAIT JCJ.jpg

30/08/2013

La sécurité rue de La Jonquière Paris 17e

-SIGLE ACAJA-CAPAC -2-.jpg

La sécurité est une priorité

Faire reculer l'insécurité quartier des Epinettes.

Ce sont les comportements adaptés de chacun et la contribution de tous qui permettront de faire reculer l'insécurité dans le quartier des Epinettes que nous aimons..

L'ACAJA, continuera de militer et d'occuper le terrain pour que la sécurité des biens et des personnes et la sécurité routière soient réelles dans notre quartier des Epinettes à Paris 17e.

Pétition 

Drogue, dealer, insécurité : stop !

- Le quartier de La Jonquière à Paris 17e est devenu depuis des années une zone où l'insécurité s'est développée de façon insupportable.

- Cette situation met en danger la sécurité et la santé publique ce qui est inadmissible.

- L'absence de volonté politique permet aux dealers de faire leur commerce en plein jour et en soirée à ciel ouvert, ce trafic de drogue pourrit la vie du quartier La Jonquière et l'insécurité s'insinue dans le secteur Nord Ouest des Epinettes.

- Il est intolérable que les résidents du quartier, les commerçants, comme les citoyennes et citoyens de passage ne puissent pas disposer du minimum de sécurité.

- L'atmosphère s'est parfaitement dégradée dans le quartier avec le développement de nouvelles violences, malgré l'excellent travail de la police nationale qui malheureusement ne dispose pas des moyens nécessaires.

Nous, commerçants, artisans, habitants et amis du quartier La Jonquière, nous sommes inquiets de la situation actuelle. Nous demandons : 

- Que les autorités de la Ville, de la Préfecture de Police et de l'arrondissement prennent enfin en compte la situation catastrophique qui règne à La Jonquière.

- Que l'impunité cesse de régner et que la loi s'applique sans faille et sans faiblesse contre les dealers de drogue et les criminels.

- Que les mesures soient prises avec les autorités compétentes pour mettre fin au règne de certains délinquants.

Dépositaire : ACAJA c/o MDA Boite 65, 25 rue Lantiez 75017 Paris 

ou par mail : acaja17@orange.fr

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