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13/02/2016

Ayons de la mémoire pour les créateurs de la librairie rue La Jonquière.

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L'USAGE DU MONDE  Librairie

32, rue de La Jonquière

Quartier des Epinettes

PARIS XVII

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Katia et Jean-Philippe

ont vendu leur appartement pour se lancer

Le Parisien |
 

Une librairie aux Epinettes, un quartier populaire du XVIIe… Il fallait avoir un brin d'inconscience ou ne pas avoir d'autre choix pour se lancer dans pareille aventure. Katia, Jean-Philippe et Anne ont osé franchir le pas. Le 25 août, ces trois passionnés ont ouvert l'Usage du monde, une librairie généraliste, dans la rue de La Jonquière, habitée par des personnes âgées et depuis peu par des familles chassées des Batignolles ou de la Plaine-Monceau par la flambée des prix de l'immobilier.

Après avoir travaillé de longues années dans de grandes librairies parisiennes, Anne et Katia voulaient voler de leurs propres ailes. Jean-Philippe, l'époux de cette dernière, les a suivies. Mais trouver des locaux abordables dans les beaux quartiers de Paris est mission impossible. « On s'est dit : Pourquoi pas près de chez nous », explique le libraire. Des bureaux vides, en angle, de 80 m2 de surface de vente et pas de librairie à la ronde. L'idée a fait son chemin et il a fallu mener de front les travaux, la course aux subventions et un déménagement. Car Katia et Jean-Philippe ont dû vendre leur appartement pour avoir des fonds propres.

L'Usage du monde a ouvert avec 10 000 volumes (littérature, jeunesse, BD, pratique, sciences humaines, cuisine…). « C'est un miracle, s'exclame James Hogges, metteur en scène et voisin de la librairie. « Le quartier se boboïse », remarque Pascal. « Je ne vais plus à la Fnac. Je joue le jeu », confie une mère de famille. Sept mois plus tard, les objectifs sont respectés. Mais l'équilibre reste fragile et Anne et Katia ne touchent pas encore le smic (Jean-Philippe a conservé une activité professionnelle parallèle). « C'est un métier de passion, on ne gagne jamais des mille et des cents, reconnaît Anne. Notre priorité, c'est de passer le cap de la première année. »

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AYONS
de la mémoire
Anne, Katia et Jean-Philippe 
participent activement au renouveau commercial de la rue La Jonquiète.
 
Faisons confiance aux libraires indépendants.
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12/02/2016

ACAJA, secteur associatif, quartier des Epinettes Nord-Ouest - Paris17e

 

 

La culture du sentiment d'insécurité serait de retour dans un micro quartier des Epinettes à Paris XVII.  

1150696471.2.jpgComment sont rentrés en délinquance les jeunes du plateau des Epinettes à Paris 17ème ?

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Dans quels groupes sont-ils aujourd'hui ?

- A ....

- B ....

- C ....
Si l'on dispose dorénavant d'un ensemble de connaissances plus ou moins fiables concernant les modalités d'entrée dans les carrières délinquantes et les pratiques qui y sont liées, les mécanismes de sortie sont encore peu connus en France.
À l’instar des recherches sur le militantisme, les travaux en sciences sociales s'intéressent davantage à la genèse des processus qu'à leur extinction.
Or l'étude des « désistements » de la délinquance – le renoncement progressif à une carrière délinquante – permettrait de mieux comprendre l'engagement et la persistance dans ces trajectoires déviantes.

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Le sentiment d'insécurité est en très net recul dans le territoire associatif de l'ACAJA, nous le devons à la Police Nationale, aux élus et au monde associatif en charge de la jeunesse.

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Secteur associatif ACAJA tracé en pointillés

 

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Passage Petit-Cerf à Paris 17ème.

Passage Petit-Cerf

Paris XVII

POURQUOI PAS 

en 

zone de rencontre

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Qu’est-ce qu’une « zone de rencontre » ?

Publié le 14 novembre 2012 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

Attention :

Cet article est ancien, l'information n'est peut-être plus exacte.

Vous pouvez néanmoins consulter cette page.

Une « zone de rencontre », en droit, est une zone particulière de circulation en agglomération.

Cette notion a été introduite dans le code de la route en juillet 2008. Elle complète deux autres dispositifs juridiques existants, « l’aire piétonne » et la « zone 30 ». Cependant, aucun de ces deux outils ne comportait une totale mixité entre tous les usagers sur une partie de la voirie urbaine : piétons, cyclistes, usagers motorisés, transports en commun… Avec les « zones de rencontres », au contraire, on cherche à faire cohabiter de manière apaisée dans un même espace les piétons et les véhicules.

Au sein de ces zones :

  • les piétons peuvent circuler sur la chaussée sans y stationner,
  • les piétons ont la priorité sur les véhicules, à l’exception du tramway,
  • tous les véhicules peuvent y circuler (voiture, vélo, bus...), mais ceux motorisés ne peuvent pas excéder une vitesse de 20 km/h.

La « zone de rencontre » correspond ainsi à des espaces publics où l’on souhaite favoriser les activités urbaines et la mixité des usages sans pour autant s’affranchir du trafic motorisé : rues résidentielles, quartiers historiques, places, sorties d’écoles, rues commerçantes etc. Plus ou moins étendue, ses dimensions doivent rester toutefois compatibles avec une vitesse limite très basse pour les véhicules et une attention soutenue des conducteurs du fait de la priorité piétonne.

Une « zone de rencontre » est créée par un arrêté local de l’autorité détentrice du pouvoir de police de la circulation (généralement le maire en agglomération). Un second arrêté rend applicables les règles particulières de circulation sur la base de l’aménagement cohérent des zones et la mise en place de la signalisation correspondante.

Les entrées et sorties de cette zone doivent être annoncées par une signalisation.

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Passage Petit Cerf, 75017 Paris

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